De toute évidence, plus de gens pourront profiter du jardin communautaire de la Cité Verte et ce probablement dès le printemps prochain car les travaux sont avancés pour la nouvelle partie jouxtant le cottage Ross.
De toute évidence, plus de gens pourront profiter du jardin communautaire de la Cité Verte et ce probablement dès le printemps prochain car les travaux sont avancés pour la nouvelle partie jouxtant le cottage Ross.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.
Depuis le milieu du XIXe siècle, les métropoles nord-américaines s’imposent comme l’incarnation d’une modernité urbaine triomphante. De Montréal à La Nouvelle-Orléans, le développement des transports en commun donne naissance à des quartiers bourgeois prestigieux, mais aussi à des quartiers chauds. De Toronto à New York, experts, architectes et politiciens tentent de faire sens du chaos urbain pour enrichir la ville et la sauver d’elle-même. De Vancouver à Chicago, parcs, boulevards et gratte-ciel sont construits et aménagés pour célébrer la grandeur des cités. Et dans l’ombre de chacune d’entre elles, il y a ceux et celles qui luttent contre les inégalités qui s’y accentuent et y persistent.
Table des matières
Histoire des villes nord-américaines 1
Introduction 7
Le tramway et la fin de la ville piétonne 13
Les quartiers de la grande bourgeoisie: le cas du Golden Square Mile à Montréal 31
Les red-light districts, quartiers du vice 51
Le mouvement City Beautiful ou le rêve d’une ville belle 69
Les grands parcs surbains: de Central Park au parc du Mont-Royal 89
L’invention du gratte-ciel, cathédrale du Nouveau Monde 107
Le redlining et la persistance des inégalités raciales aux États-Unis 133
Jane Jacobs, urbaniste de terrain 151
Dans la même collection 171
Table des matières 173Auteur: Harold Bérubé.
Harold Bérubé est professeur titulaire au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke ainsi que membre du réseau VRM et du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Il consacre ses recherches actuelles à la façon dont est pensée et gouvernée la ville au Québec au XXe siècle.
Aux éditions du Septentrion 14,95$ Papier 6,99$ PDF 6,99$ EPUB
Voir aussi : Architecture urbaine, Étalement urbain, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs, Urbanisme.
Source : Marc-André Gagnon, Journal de Québec, le 14 septembre 2021
Après s’être opposé au dézonage des terres des Sœurs de la Charité à Québec, il y a deux ans, le gouvernement Legault a déposé une offre d’achat formelle pour y développer un parc d’innovation agricole, a appris Le Journal.
Si la congrégation religieuse accepte cette proposition déposée jeudi — elle dispose de 21 jours pour le faire — le gouvernement du Québec deviendra l’unique propriétaire des 211 hectares de terres agricoles enclavées au cœur de l’arrondissement Beauport. Selon nos informations, le ministère de l’Agriculture souhaite s’inspirer de l’Espagne (Sabadell) et du Vermont (Intervale Center) pour y implanter un « agro-parc » axé sur l’autonomie alimentaire, l’enseignement, la recherche et la préservation de l’héritage historique des lieux.
Bien qu’il ait été impossible de connaître la valeur précise de l’offre, notre Bureau parlementaire a appris qu’elle correspondrait essentiellement à l’évaluation municipale.
La valeur foncière de ces terres anciennes frôlait les 30 millions $ lorsqu’elles ont été rétrocédées en décembre dernier aux Sœurs de la Charité, après l’abandon du projet de « mini-ville » de 6500 unités résidentielles, qui était porté par le promoteur Michel Dallaire, avec l’appui de l’administration Labeaume.
La réalisation de ce projet controversé, sur la table à dessin depuis 2014, passait d’abord par une modification à la vocation agricole des terres, ce que le gouvernement a toujours refusé, deux fois plutôt qu’une, au grand dam de Régis Labeaume.
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Étalement urbain, Environnement, Nouvel urbanisme, Parc, Patrimoine et lieux historiques, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.
Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 6 juin 2021
À la Pointe-aux-Lièvres de Québec, la tortue est sortie victorieuse d’un concours de noms.
Voilà qui exige des explications! La Ville de Québec entend inaugurer cet été le pavillon ainsi que la passerelle cyclopiétonne du parc de la Pointe-aux-Lièvres. Mais les deux structures nouvellement construites pour environ 11 millions $ n’ont pas de nom. Avant leur inauguration, il fallait les baptiser.Le Comité de toponymie de la Ville s’est donc creusé les méninges. Du côté du bâtiment d’accueil, la réflexion semble avoir été rapide, une seule dénomination ayant été proposée. Mais la délibération a été plus intense pour le petit pont permettant d’enjamber la Saint-Charles vers le Vieux-Limoilou…
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.
Source : Alexandre Duval, Radio-Canada, le 2 juin 2021
La rivière Saint-Charles fera bientôt l’objet de travaux de végétalisation dans le secteur de la marina Saint-Roch. Ce ne sont toutefois pas les berges, mais plutôt le fond du cours d’eau qui deviendra plus vert, dans le but d’offrir un milieu de vie plus hospitalier pour les poissons, entre autres. Lorsque le niveau de l’eau est bas et que vous vous promenez le long de la Saint-Charles, en été, il est presque impossible de manquer les accumulations de sédiments qui se sont créées à différents endroits, dans le bas bassin de la rivière.
Ces îlots sableux» se sont formés au fil du temps, résultat de particules en suspension dans l’eau qui n’ont pas pu s’écouler jusqu’au fleuve Saint-Laurent.
Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.
Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 4 février 2021
Les gens de Québec devront réduire considérablement leur vitesse en voiture cette année : la grande majorité des rues passeront à 30 km/h, alors que la plupart sont en ce moment à 50 km/h. Un «changement majeur», selon le maire, qui assure que les citoyens sont prêts.
Actuellement, 81 % des rues de la capitale sont limitées à 50 km/h. Cette proportion sera grandement réduite d’ici la fin de l’année. Avec l’implantation de la Stratégie de sécurité routière, d’ici en décembre, seulement 25 % des rues permettront une vitesse maximale de 50 km/h.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Transport.
Québec, le 29 octobre 2020 – La Ville de Québec a présenté aujourd’hui la version préliminaire de sa Vision d’aménagement pour le secteur Chaudière. Ce territoire est appelé à se développer rapidement et la Ville souhaite encadrer la construction d’habitations, de commerces et d’entreprises de haute technologie, en plus de conserver des milieux naturels et d’améliorer les déplacements actifs dans le secteur et vers les quartiers voisins.
En juin 2020, la Ville a lancé une démarche de participation publique afin de soutenir le développement de ce secteur d’importance bénéficiant de grands espaces où tout est à définir, en plus de profiter de l’arrivée du réseau structurant de transport en commun.
Réponse à un besoin de logements
La Ville veut favoriser le développement résidentiel dans le secteur Chaudière afin de répondre à la demande associée à la croissance démographique anticipée. Entre 2021 et 2031, le nombre de logements à construire pour répondre à l’arrivée des nouveaux ménages attendus sur le territoire de la ville de Québec est estimé
à 11 850.
Durant cette période, en comptant sur les lotissements autorisés, la construction sur les terrains vacants et l’insertion de logements dans les quartiers déjà construits, 8 510 logements pourront être construits sur l’ensemble du territoire. Il manquerait donc 3 340 logements pour répondre à la demande.
« La construction de 4 210 logements additionnels dans le secteur Chaudière permettra de venir combler les manques à gagner en matière d’habitation d’ici les dix prochaines années, a annoncé M. Régis Labeaume, maire de Québec. Les terrains étant vacants sur cette partie du territoire, la construction peut donc se faire à court terme. En priorisant l’élaboration de cette vision, nous souhaitons concevoir un environnement réfléchi et cohérent, qui tient compte du développement du transport en commun. »
Un milieu de vie axé sur le transport en commun
Dans ce secteur, la Ville souhaite créer des environnements de type Transit Oriented Development (TOD) qui peut être traduit par « développement orienté vers le transport en commun ». Un TOD vise à créer un milieu de vie dynamique entièrement pensé autour d’une station de transport en commun, ce qui est particulièrement souhaité aux abords du futur terminus Le Gendre et de la station Chaudière, à l’extrémité ouest du tracé du tramway.
Déjà implanté dans plusieurs grandes villes, on y trouve généralement une concentration de logements, de services, de commerces, de bureaux et de places publiques, tous accessibles à pied et qui s’organisent autour d’une station de transport en commun.
(…)
Démarche consultative : activités à venir
Les personnes intéressées à s’exprimer sur la version préliminaire de la Vision d’aménagement pour le secteur Chaudière sont invitées à participer aux activités suivantes :
Séance d’information en ligne. (Zoom). Jeudi 19 novembre 2020, à 19 h
Consultation écrite : commentaires ou dépôt de mémoires. (Plateforme de participation publique). Du 19 novembre 2020 au 8 janvier 2021
Autour du terminus du tramway: le pôle Chaudière pour combler le manque de terrains Stéphanie Martin (Journal de Québec). Un extrait: « Puisque les terres des Sœurs de la Charité ne peuvent accueillir des maisons, la Ville de Québec a besoin du développement autour du terminus du tramway, près du IKEA, pour accueillir ses futurs résidents sans causer d’étalement urbain. La Ville de Québec compte énormément sur cette «petite ville» où 9000 résidents et employés vivront et travailleront quotidiennement. «Si on ne fait pas le développement, on va manquer de place», laisse tomber le maire de Québec, Régis Labeaume. »
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Écoquartier, Étalement urbain, Commercial, Densification, Environnement, Qualité et milieu de vie, Résidentiel, Urbanisme.
Québec, le 28 octobre 2020 – La Ville de Québec lance aujourd’hui une importante démarche de consultation publique dans le but de mettre sur pied sa Vision de la mobilité active en 2022. En continuité avec la Vision des déplacements à vélo, dont la mise en œuvre se termine cette année, la Ville réitère sa volonté de positionner les déplacements actifs au cœur de son développement.
Les citoyens de Québec pourront ainsi, par l’entremise d’un questionnaire en ligne, d’une boîte à idées et d’un forum de discussion, partager sur chacun des trois principaux modes de transports actifs que sont la marche, le vélo et les déplacements intermodaux (combinaison de deux ou plusieurs modes dans un même déplacement).
(…)
Consultation publique en ligne: Le questionnaire
Du 28 octobre au 23 décembre 2020
Groupes de discussion (sur invitation). Novembre et décembre 2020
Consultation auprès des conseils de quartier. Du 4 janvier au 31 mars 2021
Dépôt du projet de Vision de la mobilité active. Été 2021
Consultation par le biais de l’application Mon Trajet Québec. Septembre 2021
Consultation sur le projet de Vision de la mobilité active. Automne 2021
Dépôt du rapport de consultation et adoption de la Vision de la mobilité active
Voir aussi : Message d'intérêt public, Piétons, Qualité et milieu de vie, Vélo.
Vivre en ville
La densification est une solution incontournable et les promoteurs sont des acteurs clés pour y parvenir. Pour faciliter la mise en œuvre de pratiques de bon voisinage et stimuler un dialogue constructif sur la densification, Vivre en Ville propose une nouvelle publication gratuite : Relever les défis de la densification grâce à la collaboration.
Présentée en 4 fiches pratiques, cette trousse vise à intégrer les pratiques de bon voisinages à tous les aspects de la promotion immobilière, du premier jour du projet jusqu’au chantier :
Fiche 01 : Planifier les pratiques de bon voisinage dès le premier jour
Fiche 02 : Entrer en relation avec le milieu : les conditions pour une démarche réussie
Fiche 03 : Concevoir un projet de densification bien intégré
Fiche 04 : Veiller au bon voisinage durant le chantier
Vivre en Ville présente son initiative Oui dans ma cour! S’allier pour des milieux de vie de qualité dans le cadre d’une entrevue offerte à Philippe Bourke, chargé de cours à l’Université de Sherbrooke. Dans cette entrevue en deux parties, Catherine Boisclair, urbaniste à Vivre en Ville, explique d’abord la démarche et le processus proposé par cette initiative. La deuxième vidéo porte sur les apprentissages, défis et perspectives.
Cette vidéo a été réalisée à l’intention des étudiants du cours Les conflits environnementaux et leurs enjeux dans le cadre du programme de 2e cycle en médiation environnementale du Centre de formation en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Vivre en Ville remercie le CUFE pour l’enregistrement des vidéos.
Voir aussi : Architecture urbaine, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie.
Québec, le 11 mars 2020 – La Ville de Québec dévoile aujourd’hui la version préliminaire de la Vision de l’habitation 2020-2030. La Vision met de l’avant de nouvelles stratégies d’intervention en habitation et mobilise les parties prenantes afin de faire face aux défis de la prochaine décennie et de saisir les occasions qui se présentent. Elle prend en compte les besoins variés de la population en misant sur l’abordabilité du logement, le soutien à la réalisation de résidences pour aînés, le vivre-ensemble et l’aménagement de lieux de rencontre.
(…)
Parmi les pistes d’actions mises de l’avant, la Ville prévoit notamment la création de 5 000 nouveaux logements. Pour atteindre cet objectif, elle souhaite entre autres :
Réaliser 2 600 nouveaux logements sociaux et abordables :
o Créer une réserve foncière par la mise en place d’un fonds 20 M$ sur 5 ans, dédié au logement social qui par un effet de levier, générera des acquisitions de terrains d’une valeur de 50 M$.
o Développer des stratégies avec les promoteurs pour inclure des logements sociaux dans certains projets résidentiels privés.
o Collaborer avec le CIUSSS Capitale-Nationale pour soutenir l’accompagnement des locataires et la gestion des milieux de vie.
Encourager la création de 2 000 places en résidences privées pour aînés :
o Mieux exploiter le potentiel résidentiel de certains sites, notamment les centres commerciaux par l’ajout d’espaces résidentiels aux étages supérieurs.
Soutenir la réalisation de 400 logements accessoires :
o Procéder à des modifications règlementaires afin de permettre la construction de mini-maisons et d’annexes résidentielles partout sur le territoire.
Aménager des lieux de rencontre dans tous les quartiers :
o Dédier 20 M$ à l’aménagement de 40 places publiques dans les différents quartiers de la ville.
Un document sur cette vision
Consultations:
Le mercredi 1er avril, 19 h
Édifice Andrée-P.-Boucher
1130, route de l’Église, salle du conseil
Le mardi 7 avril, 13 h
Club social Victoria
170, rue du Cardinal-Maurice-Roy
Logements sociaux, places pour aînés et mini-maisons à Québec Stéphanie Martin (Journal de Québec). Un extrait: On veut aussi ajouter 2000 places en résidences pour aînés. Pour ce faire, la Ville compte entre autres modifier le zonage des centres commerciaux pour y inclure des logements en hauteur. Un peu comme dans le cas du Mail Cap-Rouge. Elle augmentera le nombre de permis pour ce type de logement.
Voir aussi : Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.