Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


RTC: valideurs nouvelle génération

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er octobre 2020 5 commentaires

Des valideurs de nouvelle génération seront installés sur certains de nos véhicules
En 2020, le RTC a fait l’acquisition de valideurs de nouvelle génération, plus lisibles que les anciens. Pour l’instant, le nouveau valideur a été installé à l’essai dans un seul midibus. Il sera installé, au cours des prochaines semaines, à l’avant et à l’arrière des autres midibus et à l’avant des nouveaux autobus standards.

Valideur VPE430
Lecteur de carte à puce intégré au valideur
Réglage automatique de la luminosité
Fournisseur : Conduent

N.B. Ne fonctionneront pas avec PayPass

Toutes les informations

Voir aussi : Transport, Transport en commun.

Le tramway doublera le nombre de correspondances

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2020 23 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Avec l’avènement du tramway, la moitié des usagers du transport collectif à Québec devront effectuer au moins un transfert pour se rendre à destination. C’est deux fois plus que dans un scénario sans tramway.
On apprend cette information dans une réponse donnée au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).

Ce dernier voulait connaître l’impact de l’arrivée du tramway dans la réorganisation du service actuel en ce qui concerne les correspondances, c’est-à-dire les transferts que les usagers doivent effectuer entre le départ de leur domicile et leur arrivée à destination.

Le Bureau de projet du réseau structurant a comparé deux scénarios à l’horizon de 2026 : un avec tramway, un sans tramway.

Dans un scénario où on conserve le système de transport en commun actuel, il y aurait, aux heures de pointe du matin, le quart des usagers du transport collectif (9900 sur 38 500 usagers) qui devraient prendre au moins une correspondance dans leur déplacement matinal. Avec l’arrivée du tramway, dès l’an un, cette proportion passera du simple au double (28 200 sur 54 900).

Pour Fanny Tremblay-Racicot, professeure à l’École nationale d’administration publique, et Marie-Hélène Vandersmissen, directrice du département de géographie à l’Université Laval et spécialisée en aménagement du territoire et en développement régional, ce scénario pourrait réduire l’attrait du transport en commun.
Tracé non « optimal »

Pour Mme Tremblay-Racicot, la nécessité d’effectuer un transfert est un « irritant » et « risque même d’engendrer une perte d’usagers des transports collectifs ». Cela « témoigne que le tracé du tramway (et ses lignes de rabattement) n’est pas optimal, car il relie moins efficacement les lieux d’origine et de destination ».

« Il est possible effectivement que pour certains usagers, le fait d’avoir deux ou plus de deux correspondances soit un inconvénient qui ne soit pas compensé par le confort, la fiabilité et la rapidité du tramway », indique Mme Vandersmissen. « Cela dépendra beaucoup du délai d’attente entre chaque correspondance et de la communication de ce temps d’attente aux usagers. »

Les banlieues perdantes

Les usagers des banlieues seront les principaux perdants dans ce scénario, car ils perdront leur express, selon les deux chercheuses.

Mme Vandersmissen souligne tout de même que le rabattement « leur donnera accès à l’ensemble du réseau, et donc à un éventail plus grand de lieux de destination, ainsi qu’à une plus grande fréquence de service ».
Le Bureau de projet explique cette nouvelle réalité par le « rabattement plus intensif, principalement aux pôles d’échanges, pour une correspondance du bus vers le tramway et vice-versa ».

Le Bureau insiste sur le fait que le réseau structurant de transport en commun apportera des gains de temps, et que « l’utilisateur aura le choix d’effectuer un trajet qui minimise les correspondances s’il le souhaite ».

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Voir aussi : Projet - Tramway.

Une intersection dangereuse en haute-ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2020 4 commentaires

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 28 septembre 2020

Vous allez parfois dans le Vieux-Québec en auto? Faudra vous habituer : l’accès via l’achalandée avenue Honoré-Mercier sera restreint par la Ville qui juge qu’il y a trop d’accidents à l’intersection de la rue Saint-Jean. Que ce soit pour se rendre dans les restos, les hôtels, les salles de spectacle, pour aller au travail ou prendre une marche dans le «Vieux», les automobilistes sont nombreux à débarquer par l’autoroute Dufferin-Montmorency et la côte d’Abraham. Ils s’élancent ensuite sur l’avenue Honoré-Mercier. Puis plusieurs tournent à gauche sur la rue Saint-Jean vers la place d’Youville.

Cette manœuvre est déjà interdite aux heures de pointe du matin et de l’après-midi, du lundi au vendredi. Malgré cela, il y a encore trop de véhicules qui négocient le virage à ce coin de rue, semble-t-il. Résultat : beaucoup d’accidents impliquant autos, vélos et marcheurs, a révélé une récente analyse effectuée par la mairie.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Transport.

Des rues piétonnes en hiver ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2020 Commentaires fermés sur Des rues piétonnes en hiver ?

Source : Alexandre Duval, Ici Québec, le 28 septembre 2020

Les rues piétonnes vont peut-être continuer à animer certains quartiers de Québec pendant l’hiver. Si l’idée commence à peine à circuler concernant la rue Saint-Joseph en basse-ville, une demande officielle sera bientôt faite concernant la rue Saint-Jean, dans le Vieux-Québec.

La majorité de mes membres ont de l’intérêt pour ça, assure le président de la Société de développement commercial (SDC) du Vieux-Québec, Jacques-André Pérusse.

Il indique que la Ville sera informée des intentions de la SDC dans les prochains jours. L’idée serait de garder la rue Saint-Jean piétonne, mais uniquement lors des fins de semaine achalandées, entre la rue d’Auteuil et la côte du Palais.

C’est sûr que pendant le Marché de Noël, il y a des fins de semaine importantes, cite en exemple M. Pérusse.

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Que penser des rues piétonnes ?

Voir aussi : Art de vivre en ville, Transport.

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