Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Architecture urbaine »

Voyez les premières esquisses du futur Lab-École de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 août 2020 Commentaires fermés sur Voyez les premières esquisses du futur Lab-École de Québec

Daphnée Dion-Viens
Journal de Québec

L’établissement qui pourra accueillir plus de 400 élèves ouvrira ses portes en 2022 dans le quartier Limoilou.

Cour de récréation sur le toit, classes flexibles, gradins et corridors d’apprentissage : Le Journal a obtenu les premières esquisses du Lab-École Québec qui ouvrira ses portes à la rentrée 2022 dans le quartier Limoilou. La nouvelle école remplacera le bâtiment de l’école Stadacona, jugé trop vétuste pour être rénové adéquatement. Le bâtiment pourra accueillir plus de 400 élèves de la maternelle à la sixième année, dans 16 classes.

École «sans bottes»

Dans cette école du XXIe siècle, fini les rangées de crochets dans les corridors qui mènent aux classes. À l’entrée, les élèves laisseront leurs bottes et manteaux au vestiaire avant d’accéder à leur «secteur d’apprentissage». Les classes seront flexibles, c’est-à-dire qu’elles pourront permettre différents types d’aménagement, loin des traditionnelles rangées de pupitres.

Les corridors deviendront des «rues d’apprentissage», que les élèves pourront investir aussi pendant les cours, notamment pour des travaux en petits groupes. À la pause, les élèves pourront profiter d’une cour de récréation sur le toit. L’école sera construite en paliers, pour faciliter l’accès à des espaces extérieurs habitables qui permettront d’y faire la classe tout en étant protégé de la pluie.

Au centre de l’école, des gradins permettront aux élèves d’y flâner ou de se rendre dans l’espace pour manger. L’école sera ouverte à la communauté, qui pourra avoir accès à plusieurs installations, comme le gymnase, la cuisine, les locaux d’arts et le potager.

Ce projet est maintenant évalué à 19,4 millions $, alors que le montant annoncé lors du dévoilement du projet en 2018 était de 7,5 millions $.

Cinq autres projets de Lab-École sont en cours ailleurs dans la province. L’an dernier, le Bureau d’enquête du Journal avait révélé que le coût total des projets avait grimpé en flèche, étant passé de 55,6 millions $ à 105,9 millions $.

L’article

Voici en exclusivité à quoi ressembleront les six écoles qui seront construites par le Lab-École de Ricardo Larrivée, Pierre Thibault et Pierre Lavoie. Camille Payant (L’actualité)

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel.

Voici 10 projets de l’architecte et ingénieur Charles Baillairgé qui ont laissé une empreinte sur Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 août 2020 Commentaires fermés sur Voici 10 projets de l’architecte et ingénieur Charles Baillairgé qui ont laissé une empreinte sur Québec

Jean-François Caron , historien
Société historique de Québec
Journal de Québec

Charles Baillairgé est né à Québec le 29 septembre 1826. Il est de la quatrième génération d’une dynastie d’architectes. En effet, il était le petit-cousin de l’architecte Thomas Baillairgé, le petit-neveu du sculpteur François Baillairgé et l’arrière-petit-fils du charpentier Jean Baillairgé.

Il fait son apprentissage auprès du cousin de son père, Thomas. À 22 ans, il obtient ses diplômes en architecture, en génie civil et en arpentage. Dès lors, il conçoit et réalise des œuvres. Il est très avant-gardiste et n’hésite pas à explorer de nouveaux styles et de nouvelles techniques.

En 1866, il devient ingénieur et surintendant des travaux publics de la ville de Québec. Il laissera alors une marque indélébile dans la capitale en occupant ce poste jusqu’en 1899.

Il a conçu plus de 180 édifices, a prononcé des dizaines de conférences et écrit plus de 250 ouvrages et articles sur l’architecture, l’ingénierie, la langue, les mathématiques et même les enseignements de la vie. Il meurt à Québec le 10 mai 1906.

Nous vous présentons Charles Baillairgé en 10 projets.

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Voir aussi : Architecture urbaine, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Îlot des Capucins: dernière phase complétée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juillet 2020 Commentaires fermés sur Îlot des Capucins: dernière phase complétée

C’est vers 2014 que la compagnie Miradas a acheté ce terrain de la Ville de Québec, situé au coin du boulevard des Capucins et du Chemin de la Canardière.

En 2016, la phase 1 des travaux a commmencé, suivie de la phase 2 pour un total de 48 maisons de ville, toutes louées.

L’année 2020 marque la fin des travaux pour la phase 3, soit 76 appartements dont seulement une dizaine ne sont pas loués, malgré la pandémie et, en conséquence, les contraintes liées à la visite des appartements disponibles.

En collaboration avec l’architecte Érick Rivard, le propriétaire/constructeur a signé une réussite architecturale. Les balcons rappellent ceux du quartier, la brique omniprésente ainsi que les couleurs choisies s’intègrent parfaitement avec les deux premières phases.

A l’intérieur, de larges ouvertures permettent à la lumière de pénétrer largement les lieux tout en donnant une vue sur le quartier entourant l’immeuble. Les matériaux choisis pour les appartements sont d’une qualité manifestement supérieure et les indispensables en 2020 sont disponibles (gymnase, espaces de rangements pour les vélos, bornes de chargement pour les véhicules électriques, etc). A l’extérieur, du stationnement est réservé pour Communauto. On remarquera aussi le dégagement entre le bâtiment et la rue, l’endroit permettant aux locataires d’y installer une chaise ou deux pour regarder passer le temps et les passants.

En somme, une réussite.

Formule tout inclus / chauffé-éclairé
WIFI inclus
5 électroménagers inclus
Air climatisé dans chaque unité
Comptoirs de granit
Insonorisation supérieure
Emplacement sécurisé pour vélo
Système de puces pour accès
Plafonds de 9 pieds
Deux emplacements dans l’édifice pour des véhicules Communauto
Rangement intérieur sécurisé pour vélo
Construction 100% béton
Accès au gym
Grande terrasse sur le toit avec vue sur la Ville de Québec
Système d’intercom (entrée sécurisée)
Ascenseur
Chute à déchets
Stationnement souterrain privé et sécurisé
Deux terrasses
Espaces de stationnements disponibles

Le site internet de l’Îlot des Capucins

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.

Aménagement urbain: nouveau guide pour la conception de rues apaisées

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 juillet 2020 Commentaires fermés sur Aménagement urbain: nouveau guide pour la conception de rues apaisées

François Grenier
Journalise / 100e

L’organisme Vivre en Ville vient de lancer son guide Conception et mise en œuvre de rues apaisées – Outils pour concilier accessibilité, convivialité et sécurité sur les rues partagées et les rues étroites. Un guide plus pertinent que jamais !

Le 15 mars 2020, jour un du confinement, toutes les rues de la province sont devenues soudainement paisibles. Un peu comme si la pandémie avait plongé l’ensemble des Québécois dans un gigantesque projet pilote d’apaisement de la circulation. Puis, au bout de quelques semaines, avec l’arrivée du beau temps et la réouverture des commerces ayant pignon sur rue, il est vite apparu que les trottoirs étaient trop étroits pour que les piétons, toujours plus nombreux, puissent respecter les nouvelles consignes de distanciation physique.

D’autre part, les parcs, même ouverts, ne permettaient pas d’accueillir tous les citoyens à la recherche d’espace pour se dégourdir les jambes et prendre un bon bol d’air. Un air d’ailleurs qui n’avait jamais été plus pur depuis que les voitures avaient déserté les rues. Alors pour donner plus d’espace aux piétons et aux cyclistes, les municipalités ont commencé à multiplier les aménagements-éclairs et ainsi créer des rues partagées, à faible débit, familiales, actives, etc.

Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville, reconnaît que la sortie de leur guide semble être le fruit d’une bien étrange coïncidence, alors que la demande pour les rues apaisées n’a jamais été si forte. Or, effectivement, ce projet était déjà dans leurs cartons avant la pandémie. Et il ne pouvait pas mieux tomber.

« Le guide concerne surtout les rues locales qui, en principe, n’ont pas de fonction de transit pour des volumes importants de voitures, explique Christian Savard. Mais il peut aussi être utile dans le cas de certaines rues commerciales que l’on souhaite transformer en rues partagées. Autrement dit, des rues dans lesquelles peuvent cohabiter différents modes de transport sans l’habituelle ségrégation physique qui confine les piétons sur les trottoirs, les cyclistes sur les pistes cyclables et les véhicules motorisés sur la chaussée. Donc des rues aménagées pour que le piéton ait sa place partout, pas juste sur un petit bout de trottoir. »

Le principe à la base de ce guide, précise Christian Savard, c’est que la chaussée ne serve plus exclusivement aux voitures, mais à tout autre chose, comme jouer, se déplacer à pied ou à vélo ou même la traverser là où on souhaite, et pas seulement aux intersections.

Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville, reconnaît que la sortie de leur guide semble être le fruit d’une bien étrange coïncidence, alors que la demande pour les rues apaisées n’a jamais été si forte. Or, effectivement, ce projet était déjà dans leurs cartons avant la pandémie. Et il ne pouvait pas mieux tomber. « Le guide concerne surtout les rues locales qui, en principe, n’ont pas de fonction de transit pour des volumes importants de voitures, explique Christian Savard. Mais il peut aussi être utile dans le cas de certaines rues commerciales que l’on souhaite transformer en rues partagées. Autrement dit, des rues dans lesquelles peuvent cohabiter différents modes de transport sans l’habituelle ségrégation physique qui confine les piétons sur les trottoirs, les cyclistes sur les pistes cyclables et les véhicules motorisés sur la chaussée. Donc des rues aménagées pour que le piéton ait sa place partout, pas juste sur un petit bout de trottoir. » Le principe à la base de ce guide, précise Christian Savard, c’est que la chaussée ne serve plus exclusivement aux voitures, mais à tout autre chose, comme jouer, se déplacer à pied ou à vélo ou même la traverser là où on souhaite, et pas seulement aux intersections. »

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Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Écoquartier, Environnement, Nouvel urbanisme.

Oui dans ma cour !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 juin 2020 Commentaires fermés sur Oui dans ma cour !

Vivre en ville

La densification est une solution incontournable et les promoteurs sont des acteurs clés pour y parvenir. Pour faciliter la mise en œuvre de pratiques de bon voisinage et stimuler un dialogue constructif sur la densification, Vivre en Ville propose une nouvelle publication gratuite : Relever les défis de la densification grâce à la collaboration.

Présentée en 4 fiches pratiques, cette trousse vise à intégrer les pratiques de bon voisinages à tous les aspects de la promotion immobilière, du premier jour du projet jusqu’au chantier :

Fiche 01 : Planifier les pratiques de bon voisinage dès le premier jour
Fiche 02 : Entrer en relation avec le milieu : les conditions pour une démarche réussie
Fiche 03 : Concevoir un projet de densification bien intégré
Fiche 04 : Veiller au bon voisinage durant le chantier

Trousse de bon voisinage

Vivre en Ville présente son initiative Oui dans ma cour! S’allier pour des milieux de vie de qualité dans le cadre d’une entrevue offerte à Philippe Bourke, chargé de cours à l’Université de Sherbrooke. Dans cette entrevue en deux parties, Catherine Boisclair, urbaniste à Vivre en Ville, explique d’abord la démarche et le processus proposé par cette initiative. La deuxième vidéo porte sur les apprentissages, défis et perspectives.

Cette vidéo a été réalisée à l’intention des étudiants du cours Les conflits environnementaux et leurs enjeux dans le cadre du programme de 2e cycle en médiation environnementale du Centre de formation en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Vivre en Ville remercie le CUFE pour l’enregistrement des vidéos.

Voir aussi : Architecture urbaine, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie.

Mérites d’architecture 2019-2020 : c’est le temps de soumettre un projet

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mai 2020 Commentaires fermés sur Mérites d’architecture 2019-2020 : c’est le temps de soumettre un projet

Québec, le 19 mai 2020 – La Ville de Québec et le gouvernement du Québec invitent les architectes, entrepreneurs et propriétaires de bâtiments à soumettre leur projet dans le cadre des Mérites d’architecture 2019-2020.

Dix-sept catégories sont possibles :

Habitation ou construction neuve – basse densité
Habitation ou construction neuve – moyenne et haute densité?
Habitation – rénovation ou agrandissement?
Patrimoine dans un site patrimonial?
Patrimoine hors d’un site patrimonial?
Édifice commercial et industriel – construction neuve?
Édifice commercial et industriel – rénovation ou agrandissement?
Édifice public et institutionnel
Recyclage? (changement majeur de vocation) ?
Affichage?
Bâtiment municipal
Accessibilité universelle
Œuvre d’art – secteur privé?
Œuvre d’art – secteur public?
Entretien – préservation?
Prix du public ?
Prix spécial du jury?

Les projets doivent avoir été complétés entre le 30 juillet 2018 et le 1er juillet 2020. Les participants ont jusqu’au 21 août 2020 pour faire parvenir leur dossier. Détails, règlements du concours et formulaire d’inscription ici.

Le communiqué

Voir aussi : Architecture urbaine.

Québec serre la vis aux «densifieurs» immobiliers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 avril 2020 2 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

La Ville de Québec entend serrer la vis aux «densifieurs» qui rasent des résidences vieillottes pour faire pousser des immeubles de plusieurs logements. De nouvelles contraintes urbanistiques seront imposées afin d’assurer l’intégration cohérente de leurs créations dans les quartiers.

Depuis quelques années, la capitale encadre les promoteurs immobiliers lorsqu’ils projettent l’érection d’un bâtiment comptant entre un et trois logements sur les gravats d’une ancienne propriété. En vertu d’un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA), l’administration municipale peut avoir des exigences plus strictes afin d’assurer l’harmonisation des constructions.

Un document récemment remis aux élus énumère des exemples de contraintes: recul du bâtiment par rapport à la rue (marge de recul), la hauteur du rez-de-chaussée, les matériaux, les couleurs, la préservation des arbres matures et l’obligation de planter des arbustes…

Voici que la mairie veut donner un tour de vis supplémentaire. «Il appert que des bonifications pourraient être apportées [au PIIA] afin que les projets de densification dans les milieux résidentiels de faible densité s’intègrent encore mieux.»

Les nouveautés? D’abord, des projets comptant plus d’appartements seront soumis aux normes d’un PIIA, énonce Audrey Perreault, conseillère en communication. «La Ville souhaite s’assurer que la construction d’un nouvel immeuble résidentiel de huit logements ou moins, de même que l’aménagement de son terrain, s’intègrent harmonieusement au milieu construit.»

Les dossiers qui seront maintenant auscultés sous la loupe d’un PIIA ne passeront donc plus comme lettre à la poste, même si le zonage est respecté. «Cette procédure permet d’évaluer des projets selon des critères qualitatifs», précise Mme Perreault. «Les critères d’évaluation sont ainsi adaptés en fonction du milieu. Lors d’une demande de permis, en plus de suivre le processus normal, les projets soumis à un PIIA sont évalués par un comité consultatif d’urbanisme (CCU) qui effectue une recommandation au conseil d’arrondissement.»

Parmi les critères d’évaluation durcis, Mme Perreault cite les dimensions des cours, l’impact des aires de stationnement, l’espace disponible pour l’entreposage de la neige, les dimensions de l’immeuble dans son environnement, les matériaux de revêtement qui ne détonnent pas…

L’administration du maire Régis Labeaume n’a jamais caché son penchant favorable pour la densification des quartiers déjà habités de la capitale. Mais l’apparition de bâtiments au gabarit imposant a parfois secoué les propriétaires de maisons moins volumineuses. L’automne dernier, des résidents d’unifamiliales de la rue Terrasse Laurentienne, dans le secteur Sainte-Foy, avaient justement dénoncé l’apparition d’un immeuble de six logements sur trois étages dans leur environnement. Une densification qui était légale.

Les autorités n’avaient pu intervenir, mais elles avaient néanmoins resserré ensuite le zonage du quartier.

La Ville de Québec semble donc vouloir éviter de nouveaux remous, du moins les atténuer. Dans l’ébauche de sa Vision de l’habitation 2020-2030, elle évoque d’ailleurs maintenant une «densification réfléchie» qui s’adaptera «aux particularités des différents milieux».

Les nouvelles règles seront incluses dans le Règlement d’harmonisation sur l’urbanisme de la Ville de Québec. Avant leur adoption définitive, il y aura toutefois une assemblée populaire afin de présenter les modifications et permettre aux citoyens et entrepreneurs de poser des questions, souligne Audrey Perreault. «La date sera connue ultérieurement.»

Soulignons que la Ville révise, en outre, plusieurs règlements d’arrondissement sur l’urbanisme «afin de favoriser une intégration plus harmonieuse des projets de densification dans les milieux résidentiels de faible densité», dixit un document municipal.

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Voir aussi : Architecture urbaine.

Commission d’urbanisme et de conservation de Québec: appel de candidatures (6)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 avril 2020 Commentaires fermés sur Commission d’urbanisme et de conservation de Québec: appel de candidatures (6)

La Ville de Québec est à la recherche de candidats pour combler six postes de commissaires à la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec (CUCQ).

La Commission d’urbanisme et de conservation de Québec est une instance décisionnelle qui a le mandat de contrôler l’implantation et l’architecture des constructions, l’aménagement des terrains et les travaux qui y sont reliés lorsqu’ils sont effectués sur la propriété dans certains secteurs de la ville.

Les membres de la Commission prennent leur décision en fonction des objectifs, des critères et des guides édictés par le Règlement sur la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec R.V.Q.1324, selon les différents territoires soumis à la compétence de la Commission.

Le mandat des commissaires est de deux ans et ne peut être renouvelé consécutivement qu’une seule fois.

Les commissaires sont rémunérés selon les règles établies par l’article 14 du Règlement sur la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec R.V.Q.1324.

La Commission siège généralement une fois par semaine.

Profil recherché

Être résidant de la Ville de Québec;
Avoir de l’expérience dans l’un des domaines suivants : architecture, urbanisme, génie, évaluation, construction, histoire de l’art et de l’architecture, architecture de paysage, environnement et immobilier;
Faire preuve de jugement et être orienté en mode solution;
Être disponibles tous les mardis après-midi (avec possibilité de prolongement en soirée).

La maîtrise des compétences suivantes est un atout :

Connaître le vocabulaire propre à l’architecture, au patrimoine et à l’urbanisme;
Lire des plans, des cartes, des élévations, des coupes et des esquisses;
Être familier avec les grands courants en architecture, en patrimoine, en urbanisme et en construction.
Les personnes intéressées ont jusqu’au 11 mai 2020 pour soumettre leur curriculum vitae accompagné d’une lettre de présentation à l’adresse suivante : cucq@ville.quebec.qc.ca

Un comité de sélection analysera les candidatures reçues et rencontrera les personnes répondant le plus aux critères recherchés. Les candidats qui n’auront pas été sélectionnés pour les postes disponibles, mais qui répondent aux compétences demandées, pourraient être retenus dans une banque de candidatures de membres substituts.

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Voir aussi : Architecture urbaine, Message d'intérêt public, Québec La cité.

Centrale de police: adjudication d’un contrat de services professionnels en architecture

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 avril 2020 1 commentaire

Cette demande provient du Service de la gestion des immeubles qui désire obtenir des services professionnels en architecture consistant à effectuer les études préparatoires, réviser le concept, réaliser les plans et devis et fournir les services durant la construction dans le cadre du projet de construction de la nouvelle centrale de police située dans l’Arrondissement des Rivières.

L’analyse démontre que la firme CCM2 architectes inc. située au 9285, boulevard de L’Ormière, Québec (Québec) G2B 4H4 (à l’attention de monsieur Mathieu Morel) est conforme et a obtenu le pointage final le plus élevé.

Recommandation: D’adjuger à la firme « CCM2 architectes inc. » le contrat de services professionnels en architecture – Centrale de police – Nouvelle construction (BAT 2016-101) pour une somme de 1 019 000 $ (plus TPS et TVQ applicables), conformément à la demande publique de soumissions 64820 et à sa soumission du 31 janvier 2020.

(…)

Estimation du service demandeur : 3 126 240 $ (avant taxes)

CCM2 Architectes: 1 019 000 $
ABCP Architecture et Urbanisme: 1 896 507 $
St-Gelais Monminy + Associés: 3 200 000 $

Toutes les informations

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement Les Rivières, Message d'intérêt public.