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L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Architecture urbaine »

Un prix de l’Institut Royal d’architecture pour une firme d’architectes de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 mars 2020 Commentaires fermés sur Un prix de l’Institut Royal d’architecture pour une firme d’architectes de Québec

Québec, Canada, 09-03-2020 –

Groupe A/ Annexe U s’est vu décerner un prix d’excellence en design urbain par l’Institut Royal d’architecture du Canada (IRAC) dans la catégorie Plan de design urbain pour son Plan d’intervention pour le confort et la sécurité des piétons et cyclistes dans le Vieux-Québec.

Grâce à l’élaboration de familles de rues selon les constats découlant d’une analyse multicritère, ce plan d’intervention sert d’outil d’aide à la décision et à la conception pour les travaux de réaménagements dans le secteur. Basé sur l’approche des rues conviviales (complete streets), il intègre notamment des propositions de réaménagements de ces groupes de rues, un plan de mise en œuvre sur un horizon de 15 ans, et une approche multidisciplinaire et participative, dans le but ultime d’améliorer la sécurité et le confort des piétons et des cyclistes dans le Vieux-Québec.

Au sujet du projet, le jury a tenu à souligner cet ambitieux plan :

« En partie étude et en partie plan directeur, il s’agit d’un projet bien documenté, exhaustif, innovant et bien présenté. Le plan reflète l’histoire, la topographie, le climat et la forme bâtie uniques du Vieux-Québec et le considère du point de vue du cycliste. Bien qu’il ne s’agisse certainement pas d’un modèle normalisé, le plan fournit un exemple de la manière dont d’autres villes et municipalités pourraient planifier avec succès pour les piétons et les cyclistes.

Il s’agit d’une étude de planification des infrastructures extrêmement complète dont la nouveauté réside en partie dans l’inclusion de considérations non traditionnelles ayant trait notamment à la topographie, aux vues et au caractère panoramiques, à l’exposition solaire et à l’interprétation du patrimoine. L’analyse est exhaustive et la justification des différentes stratégies et politiques proposées est clairement articulée et communiquée. Les interventions proposées sur le site, comme le traitement des intersections, sont simples mais efficaces et elles répondent de manière rafraîchissante aux conditions contextualisées. Le recours à un groupe de travail permanent composé de diverses parties prenantes tout au long du projet est louable. Un cadre exceptionnel pour orienter l’amélioration des infrastructures pour piétons et cyclistes à l’échelle d’un grand quartier urbain – surtout en tenant compte de la complexité et de l’importance historique de son contexte. »

Pour ANNEXE U, il s’agit d’une belle réussite, après avoir été lauréat d’un certificat de mérite des Prix nationaux de design urbain de l’IRAC en 2016 pour son projet de « stationnement pour piétons » Limoilou dans la rue. Depuis plusieurs années, la firme participe activement à l’amélioration des milieux vies par des interventions en architecture et en design urbain partout au Québec. Ce plan a été réalisé en collaboration avec la ville de Québec et avec le support de CIMA+ (circulation/transport) et Lemay (paysage).

Fiche technique
Client : Ville de Québec
Lieu : Vieux-Québec
Date d’achèvement : 2018

Architectes et designers urbains : Groupe A / Annexe U
Chargé de projet : Erick Rivard
Équipe de projet : Keven Ross, Maxime Rochette, Alexandre Laprise et Rémi Morency
Collaborateurs : CIMA+ (circulation/transport) et Lemay (paysage)

À propos de GROUPE A / ANNEXE U

Fondé en 1955, Groupe A est un pilier de longévité parmi les firmes d’architectes au Québec. Cette firme réunit cinq associés ; Patrice Beauchemin, Rémi Morency, Érick Rivard, Élisa Bell-Nadeau et Anne-Marie Blais, ainsi qu’une quarantaine d’employés permanents. Elle intervient principalement sur des projets institutionnels et urbains. Avec sa division en design urbain et en urbanisme nommée Annexe U, Groupe A est solidement reconnue au Québec comme l’une des firmes les plus novatrices en ce qui concerne l’aménagement du territoire et plus particulièrement les espaces publics. Son approche unique est orientée sur une équipe multidisciplinaire comprenant des architectes, designers urbains, architectes paysagistes, urbanistes, spécialistes du patrimoine bâti et chercheurs.

Voir aussi : Architecture urbaine.

Ordre des architectes du Québec: Prix du public 2020

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mars 2020 Commentaires fermés sur Ordre des architectes du Québec: Prix du public 2020

Quelques projets à Québec, dont celui du théâtre Le Diamant. Fin du vote ? 27 mars 2020

Voir aussi : Architecture urbaine, Art urbain, Conférences / évènements, Institutionnel.

L’ancienne maison du maire Labeaume détruite sans permis

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 février 2020 4 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

L’ancienne résidence du maire de Québec, un bâtiment à valeur patrimoniale, a été démolie par ses nouveaux propriétaires sans permis pour le faire. La Ville envisage d’intenter des recours judiciaires.

En octobre, l’actuel propriétaire Yves Laperrière a obtenu un permis de la Ville pour agrandir la résidence sur la rue du Cap-au-Diable, sur le flanc des falaises de Sillery. Le plan qui avait été soumis permettait aux yeux de la Ville de préserver l’intérêt architectural de la maison érigée en 1966.

Or le 22 janvier, des inspecteurs ont découvert que la maison avait été détruite. La Résidence Paul-H. Bilodeau figure pourtant au répertoire du patrimoine urbain de la municipalité. Elle ne fait pas l’objet d’un classement en tant que tel, mais sa valeur est jugée d’intérêt.

Résidence Paul-H.-Bilodeau

Elle a été dessinée par un architecte réputé et est considérée comme représentative du courant moderne en architecture de l’époque. Sur sa fiche, on précise que « sa forme générale doit être préservée ».

L’architecte qui a dessiné ses plans, André Robitaille (1922-2009) a aussi dessiné le pavillon principal de la Forêt Montmorency et les résidences de l’Université Laval (pavillon Parent), entre autres.

À la Ville, on a confirmé cette semaine qu’elle avait été détruite sans autorisation. « Compte tenu de cet état de fait, la Ville a demandé l’arrêt des travaux et évalue présentement ses recours en lien avec la réglementation d’urbanisme », a commenté son porte-parole David O’Brien.

Sur place, une clôture bloque l’accès au terrain mais on peut voir au travers du treillis qu’il ne reste plus rien de l’imposante maison face au fleuve. À l’avant, une pancarte rappelle les plans originaux d’agrandissement prévus à l’origine pour la « Villa Cap-au-Diable ». On y souligne qu’elle constitue « une pièce importante du mouvement moderne de l’architecture résidentielle à Québec. »

Joint mercredi, le propriétaire Yves Laperrière n’a pas voulu faire de commentaires. M. Laperrière a acquis la maison de la famille Labeaume en mai 2019 au coût de 1 215 000 $.

Selon nos informations, il ne pourra pas construire de nouveau bâtiment sur le terrain, le règlement de contrôle intérimaire interdisant les nouvelles constructions dans les secteurs en forte pente.

Par ailleurs, la Ville est en train de resserrer ses règles pour mieux protéger les bâtiments d’intérêt patrimonial. Plus tôt cette semaine, Le Soleil révélait que pas moins de 500 immeubles pourraient s’ajouter à la liste des maisons de valeur jugée « supérieure » ou « exceptionnelle » protégées par la Commission d’urbanisme.

Ces derniers mois, les menaces pesant sur plusieurs bâtiments d’intérêt ont fait les manchettes à Québec : maison Pasquier, maison Jolin-Bédard, maison Déry, église Saint-Coeur-de-Marie et plus récemment, l’église Saint-Sacrement.

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Un billet précédent: Défense du patrimoine immobilier: critiquée, la Ville de Québec lance une offensive

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Patrimoine et lieux historiques.

Le Diamant et le Grand Théâtre : mises en scène audacieuses

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 novembre 2019 3 commentaires

Marie Gagnon
Portail Constructo

Avec l’inauguration récente du théâtre Le Diamant et la réhabilitation du Grand Théâtre, la ville de Québec se positionne aujourd’hui comme une capitale culturelle et une destination incontournable dans l’univers du spectacle québécois. Mais avant que le rideau ne se lève sur ces scènes emblématiques, il aura d’abord fallu déployer des trésors d’ingéniosité pour en faire des lieux de diffusion inspirés et inspirants.

À commencer par Le Diamant, où le concept architectural imaginé par le consortium Coarchitecture, Atelier in situ et Jacques Plante architecte s’inspire de la mémoire du lieu tout en rendant hommage à l’architecte Joseph-Ferdinand Peachy, à qui l’on doit l’ancien YMCA, dont la façade a été conservée. Jouant avec la théâtralité, la lumière et la transparence, les concepteurs ont en outre coiffé l’édifice de 8 000 mètres carrés d’un atrium de verre dont la forme biscornue évoque celle d’un diamant.

Le projet, qui a nécessité un investissement de 57 millions de dollars, comportait plusieurs enjeux. En plus de conserver certains éléments patrimoniaux, les concepteurs devaient superposer deux salles, soit une salle de diffusion de 650 places et une salle de création, toutes deux pouvant être utilisées simultanément. Et, par conséquent, ne devant pas se gêner mutuellement.

Coup de théâtre

« Même si on avait voulu tout conserver de l’ancien YMCA, ç’aurait été impossible puisque les théâtres sont des établissements classés A-1 selon le Code, mentionne d’entrée de jeu Marie-Chantal Croft, architecte principale pour Coarchitecture. On ne pouvait donc pas conserver la structure de bois mais, en référence au passé, on a mis en valeur au premier étage les arches de bois qui encadraient auparavant les fenêtres de l’édifice, qui a entièrement été démoli. »

La vocation particulière du théâtre Le Diamant a nécessité des prouesses techniques et architecturales.

À l’exception toutefois de la façade d’origine, qui a été étayée avant la démolition puis consolidée au moyen d’une croute de béton coulé de 40 centimètres. Pour faire disparaitre les outrages du temps, certaines pierres trop abimées ont été remplacées, les autres ayant retrouvé leur air de jeunesse grâce à un nettoyage en règle.

La toiture, qui avait été recouverte de bardeaux d’asphalte à une certaine époque, a également repris son look d’origine avec des tuiles d’ardoise et des garnitures de cuivre étamé.

Voltige structurale

Mais les principaux défis découlaient de la vocation et de l’aménagement mêmes de l’édifice. Le volume de diffusion principal, qui partait du rez-de-chaussée et s’élevait jusqu’au quatrième niveau, devait être parfaitement insonorisé afin de ne pas interférer avec la salle de création, aménagée aux sixième et septième niveaux. « Compte tenu de la vocation du lieu, on a opté pour une structure de béton pour des raisons acoustiques, signale Pierre Laliberté, chargé de projet pour Tetra Tech. Si ce n’avait pas été un théâtre, on l’aurait fait tout en acier, un matériau plus facile à travailler. »

Pour les mêmes raisons, un étage tampon a été aménagé entre les deux salles. Cet étage joue par ailleurs un rôle structural dans l’aménagement de la salle de diffusion de 25 mètres sur 25 mètres, conçue sans colonne. « Les dalles des niveaux 4 et 5 sont jointes par des murs-poutres en béton pour ne former qu’une seule structure », précise l’ingénieur, qui ajoute que le projet comptait trois grilles techniques, soit les équipements de levage, d’éclairage et de sonorisation, retenues aux fermes d’acier de la toiture au moyen d’un jeu de suspensions, tout comme les dalles des deux derniers niveaux.

Rideau de verre

La réhabilitation de l’enveloppe du Grand Théâtre a donné lieu à une solution encore plus spectaculaire. Et pour cause : le bâtiment construit à la fin des années 1960, qui abrite la Maison du Trident, l’Opéra et l’Orchestre symphonique de Québec, a été entièrement revêtu d’un écrin de verre afin de stopper la dégradation des panneaux de béton préfabriqué qui composent ses murs extérieurs.

« Le problème a commencé à se manifester sur les têtes des colonnes de béton préfabriqué qui ceinturent le bâtiment avant de se propager à l’ensemble de l’enveloppe, relate Albani Boudreau, chef du service de l’immeuble. Des morceaux de béton, parfois de la taille d’une rondelle de hockey, s’en détachaient et menaçaient les passants. On a d’abord embauché des cordistes qui, au moyen de leurs piolets, faisaient tomber les morceaux sur le point de se détacher. »

Mais la dégradation, loin de s’arrêter, prend de l’ampleur. Des sondages ont mis en évidence la présence de condensation et de glace dans les murs ainsi qu’une isolation quasi inexistante. « Les études thermographiques ont montré que les murs étaient de vraies passoires », souligne le gestionnaire. Il faut donc agir, et vite, car la corrosion attaque les ancrages de métal qui retiennent les panneaux de béton. Mais comment ?

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Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou.

Les nouvelles approches en urbanisme: Où en est la Ville de Québec ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 octobre 2019 9 commentaires

Récemment, le réseau immobilier tenait une conférence sur la thème suivant:

En matière d’urbanisme, plusieurs approches novatrices sont de plus en plus utilisées dans les différentes villes du monde relativement à l’organisation et à l’aménagement des espaces urbains. Mais où en est la ville de Québec par rapport à ces tendances mondiales ?

C’est ce qu’Antoine Guy d’Atelier Guy Architectes nous exposera lors de ce déjeuner-conférence. Nous plongerons d’abord dans les grands principes d’urbanismes ayant mené à ce modèle qu’est la ville de Québec, pour ensuite nous plonger dans les nouvelles tendances et leurs manifestations à travers certains projets à venir qui font écho à cette nouvelle façon de concevoir la ville.

Monsieur Antoine Guy a accepté de partager avec le lectorat de Québec Urbain les images de sa présentation. On l’en remercie beaucoup. Mentionnons aussi la collaboration très serrée de son collègue Simon Parent Designer Urbain qui a monté la présentation et a fait en grande partie la recherche iconographique et de contenu. Il vaut vraiment la peine de parcourir ce document diffusé en exclusivité sur Québec Urbain.

Voir aussi : Architecture urbaine, Québec La cité.

CCM2 Architectes: tout le monde à Copenhague!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 octobre 2019 2 commentaires

CCM2 9285 boulevard l’Ormière
Québec, Qc G2B 4H4

Alexandra Perron
Le Soleil

Parfois, les astres s’alignent pour créer des moments de magie. C’est ce qu’ont vécu les 27 membres de CCM2 architectes, partis en voyage «de ressourcement et de formation» à Copenhague, du 29 août au 2 septembre. À la fin de l’entrevue pour raconter leur aventure… plusieurs ont fondu en larmes!

«Merci», a lancé Lydia Perron, la voix cassée par l’émotion. Mathieu Morel, l’un des associés et instigateur du périple danois, avait aussi l’œil humide.

En juin, lui-même a visité Copenhague pour la première fois. La ville lui est rentrée dans le cœur comme une tonne de briques. Dans l’avion au retour, il s’est dit qu’il devait amener son collègue chargé du design voir ça. Puis à la fin du vol, c’est toute l’équipe, tous postes confondus, qu’il a voulu imprégner de la capitale du bonheur.

La direction a payé la majorité des frais. La contribution des employés s’élevait à quelque 350 $ par personne. Tout le monde a embarqué.

Sur place, la trentaine de Québécois s’est déplacée en troupeau. Sur deux roues, bien entendu au paradis du vélo, et aussi en bateau pour explorer de nouveaux quartiers inaccessibles autrement.

Ils ont croisé des maisons de 12 pieds de largeur sur 3 ou 4 niveaux, érigées directement sur l’eau. De chez eux, les gens enfilent leur masque de plongée ou montent sur leur planche à pagaie et plouf! Même une école a sa plateforme à même le canal, sans clôture, avec bassin baignable intégré. Dans la ville, partout où il y a une échelle orange, c’est signe que la baignade est sans danger.

Les déplacements à vélo et cette proximité avec l’eau en font un endroit où il fait bon vivre, commente Audrey Côté Trépanier. Elle a senti le fameux hygge (prononcez hu-gueu), ce confort, cet art de vivre danois qui permet d’apprécier les petits moments du quotidien.

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Voir aussi : Architecture urbaine, S'inspirer d'ailleurs.

Causerie autour des « Mémoires inachevées » de Jean-Paul L’Allier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2019 Commentaires fermés sur Causerie autour des « Mémoires inachevées » de Jean-Paul L’Allier

Le livre

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements.

Influences de l’architecte Frank Lloyd Wright à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 août 2019 Commentaires fermés sur Influences de l’architecte Frank Lloyd Wright à Québec

Texte de Émilie Vézina-Doré, conseillère à la mise en valeur du patrimoine à la Ville de Québec

Le 7 juillet 2019, l’architecture de Frank Lloyd Wright rejoignait la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Les œuvres architecturales du XXe siècle de Frank Lloyd Wright, regroupant huit édifices, sont désormais inscrites à la prestigieuse liste, sur laquelle figure également l’arrondissement historique du Vieux-Québec.

Né dans le Wisconsin, Frank Lloyd Wright (1867-1959) est l’auteur de plusieurs centaines de bâtiments presque exclusivement situés aux États-Unis. Wright a été reconnu au début des années 1990 par l’American Institute of Architects comme le plus grand architecte américain de l’histoire. Son influence s’est fait ressentir jusqu’à Québec!

Ses maisons style prairie

En plus du fameux musée Guggenheim de New York, Wright est renommé pour ses maisons associées au style prairie qui, par leur profil bas et leur composition horizontale, s’adaptent bien au paysage des vastes étendues des plaines américaines. Ce sont, en quelque sorte, les ancêtres de nos bungalows.

D’ici à votre prochaine excursion dans la banlieue de Chicago, à Oak Park, pour visiter sa maison-studio et ses nombreuses résidences ou la fameuse maison sur la cascade (Fallingwater) en Pennsylvanie, pourquoi ne pas faire un survol de l’architecture moderne à Québec en découvrant deux édifices de Québec clairement influencés par Wright?

Les architectes québécois Béland et Racicot inspirés par Wright

La résidence Camille-Lacroix sur l’avenue des Gouverneurs (1954), un clin d’œil de l’architecte Paul Béland à la Frederick C. Robie House (1906-1909).

L’ancienne Caisse Notre-Dame-du-Chemin (1963), une œuvre de Jacques Racicot inspirée du musée Solomon R. Guggenheim conçue par Wright en 1959.

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Voir aussi : Architecture urbaine, Histoire, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.

Des Mérites d’architecture aux deux ans

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 août 2019 Commentaires fermés sur Des Mérites d’architecture aux deux ans

Alexandra Perron
Le Soleil

Les Mérites d’architecture de la Ville de Québec seront dorénavant présentés tous les deux ans et le prochain gala aura lieu en 2020.

La Ville a décidé de rendre son concours bisannuel «au même titre que les Prix d’excellence en architecture de l’Ordre des architectes du Québec» et «considérant le nombre limité de candidatures potentielles sur le territoire», a indiqué au Soleil la conseillère en communication Audrey Perreault.

Elle ajoute que les années où les Mérites n’auraient pas lieu, «la Ville en profiterait pour faire rayonner l’architecture sur le territoire, d’où la mise en place du concours Instagram #ArchitectureVDQ».

Lors du dernier gala des Mérites d’architecture 2018, tenu en janvier au Palais Montcalm, la réhabilitation du Manège militaire des Voltigeurs de Québec avait raflé le prix du public et le prix spécial du jury.

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Voir aussi : Architecture urbaine.