Archive des billets publi�s en octobre 2006

On sait que ce dossier a fait couler beaucoup d'encre � la fin des ann�es 90. Aujourd'hui, sur le site de la cimenterie Saint-Laurent, d'importants projets d'immeubles [billet] sont sur le point de se r�aliser...

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 31 octobre 2006.

La Cour d'appel r�duit d'environ 20 % les indemnit�s consenties � pr�s de 2000 r�sidents de l'arrondissement Beauport voisins de la cimenterie Ciment St-Laurent, ferm�e en 1997.

Les sommes accord�es aux propri�taires et locataires des habitations entre les ann�es 1991 et 1997 passent ainsi de 15 � environ 12 millions de dollars. Les juges estiment que le bruit n'a pas r�ellement �t� un inconv�nient pour la majorit�.

De plus, l'indemnit� octroy�e en regard de la poussi�re et des odeurs est aussi r�duite afin d'�tre proportionnelle aux rendements des �quipements antipollution de la cimenterie. La requ�te en recours collectif avait �t� d�pos�e en 1993.

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Bien que compl�t� et enti�rement am�nag�, le prolongement de l'autoroute du Vallon, � Qu�bec, attend d'�tre inaugur� par le gouvernement du Qu�bec qui fait litt�ralement patienter les automobilistes.

Le projet de 47 millions qui prolonge l'autoroute du Vallon � partir du boulevard Lebourgneuf, au sud, jusqu'au boulevard Bastien, au nord, est compl�t� par les entrepreneurs en construction.

Suite de l'article sur Canoe

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Comme le pr�cise le bulletin Ma ville - Mon arrondissement (28 octobre 2006), "les phases III et IV du programme de renaturalisation des berges viennent de se terminer. Elles ont permis de poursuivre la d�molition des murs b�tonn�s et l'am�nagement d'un sentier multifonctionnel." Par ailleurs, "il ne restera, au printemps prochain, qu'� compl�ter les plantations. Les travaux des phases V et VI d�buteront au m�me moment. Avec eux, prendra fin ce grand projet."

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction NE � partir du pont Dorchester (d�but des travaux);
Photo 2: Vue en direction SO � partir du pont Dorchester;
Photo 3: Vue vers le SE � partir du pont Drouin;
Photo 4: Vue vers le NO � partir du pont Drouin.

... La suite, donc, l'an prochain!

Voir aussi l'�tat des travaux de la phase III, ainsi que ce billet.

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Au nord de Qu�bec, ce matin, la neige �tait bien visible sur les hauteurs apr�s un week-end temp�tueux...

Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil, 30 octobre 2006.

Toitures et arbres arrach�s, pannes �lectriques et d�g�ts d�eau. La pluie et les vents violents de la fin de semaine, d�passant par endroits les 100 km/h, ont caus� leur lot de tracas, notamment � Qu�bec et dans le Bas-Saint-Laurent. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Il fallait �tre un peu maso (comme moi!) pour affronter � l'ext�rieur le vent violent et la pluie, cet apr�s-midi. Ci-haut, une des innombrables mares observ�es dans le quartier Limoilou...

Voir ce billet.

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D�cid�ment, les annonces de nouveaux immeubles � bureaux se multiplient, sur le boulevard Laurier!

Tel �tait le titre, ce matin, en page 54 du journal Le Soleil, de cette publicit� de La Capitale. On y pr�cise: "Projet d'une nouvelle construction moderne (...) - Tr�s grande visibilit� (...) - Occupation 2008 - R�servez votre place".

Cependant, pas d'esquisse ni d'autres d�tails dans le site de La Capitale (page Complexe Le Delta)...

Voir aussi ces deux billets.

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Les d�licats cirrus d�corant le ciel au-dessus du centre-ville trahissent l'arriv�e, pour ce week-end, d'une temp�te d'automne qui pourrait �tre m�morable sur tout le sud-ouest qu�b�cois, incluant Qu�bec...

� consulter, mon blogue m�t�o ainsi que les
pr�visions m�t�o.

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Source: Pierre Couture, Le Soleil, 26 octobre 2006.

Les investissements pleuvent ces temps-ci dans le Parc technologique de Qu�bec, qui en a pour 150 millions $ dans ses cartons.

� Sans se tromper, nous sommes le plus gros chantier priv� au Qu�bec dans le secteur des hautes technologies �, indique au Soleil le directeur du d�veloppement des affaires, Richard St-Pierre.

Depuis quelques mois, les annonces d�investissements se succ�dent � un rythme d�enfer. Les entreprises et centres de recherches s�arrachent litt�ralement les terrains du Parc situ� � l�angle des autoroutes Charest et Henri-IV.

Parmi les investissements majeurs, l�Institut national de recherche scientifique (INRS) est � compl�ter un nouveau complexe de recherche dont les co�ts s��l�vent � 60 millions $.

Voir aussi ces deux billets.

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Ce magnifique immeuble d'habitation, �rig� � la fin des ann�es 20 sur Grande-All�e, a d�j� fait indirectement l'objet d'un billet (Francis Vachon) dans Qu�bec Urbain...

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Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo, 26 octobre 2006.

Pr�s de 45 % et 37 % des 654 r�pondants � un sondage L�ger Marketing r�alis� pour le compte de quebechebdo.com, en collaboration avec le FM-93,3 et TQS estiment que la mairesse de Qu�bec, Andr�e P. Boucher, et l�homme d��affaires, Jacques Tanguay, sont les personnalit�s les plus influente de la r�gion.

Ils avaient � r�pondre entre le 5 et le 10 octobre derniers � la question suivante : �Parmi les 20 personnalit�s suivantes, identifiez les deux personnalit�s qui sont selon vous les plus influentes dans la r�gion de Qu�bec?�. (...)

La suite.

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Permettez moi une toute petite annonce, puisque je suis certain que �a vous int�ressera: le site de Zone Acc�s Public Qu�bec est maintenant en ligne.

ZAP c'est le nom officiel du projet n� sous le nom de Qu�bec sans fil, il y a quelques semaines. ZAP c'est la traduction fran�aise de hotspot, selon l'Office de la langue fran�aise. Premiers points d'acc�s: d'ici la fin de l'ann�e.

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�a c'peux-tu... *soupir*

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 25 octobre 2006.

Allez comprendre ! Alors que des efforts consid�rables sont men�s � Qu�bec pour accro�tre la fr�quentation du R�seau de transport de la Capitale, les r�sidants du secteur Les M�andres, dans le quartier Lebourgneuf, disent non au service d�autobus.

Ils sont venus en d�l�gation, hier soir, � la r�union des membres du conseil d�administration de l�organisme de transport en commun, pour r�clamer la fin du parcours 81, instaur� depuis le 19 ao�t, entre le terminus du Zoo et le terminus Les Saules.

� C�est un quartier paisible et r�sidentiel, soutient le citoyen Julien Arseneault. � minuit (quand les autobus passent), �a nous d�range. Il n�y a personne qui embarque, il n�y a personne qui d�barque. �

Voir ce billet.

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Je reviens sur ce sujet que j'ai abord� l'an dernier [billet]: jusqu'� quel point Qu�bec consid�re-t-elle la bicyclette comme un mode de transport alternatif � d�velopper consid�rant que le gros bon sens dicte que notre ville devrait "fermer" ses pistes cyclables le 1er novembre... au plus t�t?

Ceci dit, vous en avez ras-le-bol de vous faire faire la morale sur le casque obligatoire, en particulier de la part d'esclaves du volant qui ne prennent m�me pas la peine de marcher cinq minutes pour aller acheter leur cartouche de cigarettes? Consultez ce site fran�ais! Par ailleurs, la perspective de suer [billet] en montant en haute-ville freine votre ardeur d'utiliser ce mode de transport convivial, �conomique, excellent pour la sant� et ce, un bon huit mois par ann�e? Faite comme moi � l'exemple de ce brave type ci-bas: grimpez les c�tes � pied! ;-)

Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 25 octobre 2006.

Selon le rapport sur l'�tat de sant� des Qu�b�cois d�voil� mercredi par le directeur national de sant� publique, m�me si la population de la capitale nationale vieillit plus vite que dans le reste de la province, l'esp�rance de vie en bonne sant� est l'une des plus �lev�es au Qu�bec. Elle est de 77 ans pour les hommes et de 82 ans pour les femmes.

La pr�valence du diab�te est faible, tout comme les d�c�s associ�s au tabagisme ou la mortalit� li�e � des probl�mes cardiaques.

L'�tude r�v�le �galement que les habitudes de vie des r�sidents de la capitale nationale sont meilleures que celles des r�sidents des autres r�gions. (...)

La suite de l'article. Voir �galement ce billet.

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 25 octobre 2006.

Les passants qui d�ambuleront devant le nouveau Palais Montcalm vont constater, de visu, la tenue d�une r�p�tition ou d�un concert par l��uvre artistique qui accompagne chaque �difice public.

Intitul� Le Fil rouge pour signifier que tous les instrumentatistes sont sur la m�me tonalit�, l��uvre peut d�j� �tre aper�ue depuis la rue Dauphine.

Suite de l'article

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 25 octobre 2006.

La Ville de Qu�bec �value la faisabilit� d�un pont pi�tonnier pour le moins original qui pourrait permettre de relier le parc Victoria � la promenade Bourdages, pr�s de la rue Mgr-Plessis, de part et d�autre de la rivi�re Saint-Charles.

L�immense passerelle, de forme oblique, �tablirait ainsi un lien entre les districts de Vanier et de Saint-Sauveur. Elle servirait avant tout de promenade pour les personnes � mobilit� r�duite qui fr�quentent l�Institut de r�adaptation en d�ficience physique de Qu�bec (l�ex-centre Fran�ois-Charon). Son directeur g�n�ral, Richard Brousseau, appuie la r�alisation du projet � dans la mesure o�, dans sa r�alisation, seront tenus en compte les besoins d�accessibilit� universelle, en particulier des personnes � mobilit� r�duite. �

Suite de l'article

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Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 24 octobre 2006.

L�id�e d�un tramway � Qu�bec fait son chemin. Les deux tiers de la population de la r�gion de Qu�bec est d�accord avec un tel projet, selon un sondage r�alis� par la firme L�ger Marketing pour le compte d�Acc�s transports viables.. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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� la suggestion de Julien Dallaire, guide touristique [billet], voici ci-haut un magnifique (et m�connu) petit �lot de patrimoine sis en bordure de Langelier et � moins de cinq minutes � pied du nouveau Monument en hommage aux communaut�s religieuses hospitali�res du Qu�bec [autre billet]. Il s'agit du parc du Moulin-de-l'H�pital.

Tout pr�s, un peu � l'ouest, se trouvent les R�sidences Wilfrid-Lecours: "�difi�es en 1909 selon les plans de l'architecte Ren�-P. Lemay, l'ancienne �cole technique de Qu�bec �tait d�saffect�es depuis de nombreuses ann�es lorsque les propri�taires ont d�cid� de reconvertir ce magnifique immeuble pour un faire un centre d'art et de culture ainsi qu'une r�sidence de 115 unit�s pour personnes �g�es." (Source: �cole d'architecture de l'Universit� Laval. Architecture contemporaine � Qu�bec, 122 rep�res urbains. Qu�bec, Les publications du Qu�bec, 2002, 172 p.)

Ci-bas, la nouvelle aile d'habitation incurv�e de ce complexe r�sidentiel (1994, con�ue par Gagnon, Latellier, Cyr, architectes).

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 24 octobre 2006.

Selon une �tude r�cente effectu�e dans la capitale, les itin�rants co�tent deux fois plus cher � la soci�t� en services publics que des individus ayant un mode de vie itin�rant, mais vivant en logement. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Elle est pour d'aucuns l'ultime caricature d'un hippisme hilarant et obsol�te, l'incarnation du �nec plus granola�. Malgr� la modestie du mat�riau, la paille s'av�re pourtant un tr�sor de plus en plus convoit� pour l'isolation des maisons: en plus d'�tre saine et d'une grande efficacit�, elle a le m�rite d'�pargner nos for�ts. Ce serait d'ailleurs en raison de la raret� du bois et de l'av�nement de la botteleuse automatique que l'utilisation du ballot de paille dans la construction serait n�e au Nebraska au XIXe si�cle.

L'utilisation de ce mat�riau s'est depuis r�pandue sur tous les continents. Selon le magazine Internet Qu�bec urbain, on en compterait quelques centaines au Qu�bec, soit beaucoup moins qu'en Ontario et en Colombie-Britannique. Son utilisation serait pourtant des plus pertinente en raison de nos rapides variations climatiques. Une organisation internationale (International Straw Bale Building) propose des conf�rences tous les deux ans; la derni�re se tenait en septembre dernier en Ontario.

[Suite de l'article sur le site du Devoir]

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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 20 octobre 2006.

La Commission de la capitale nationale (CCNQ) compte pr�senter un � projet majeur � pour le domaine Cataraqui avant la fin de l�ann�e financi�re.

Un concept de mise en valeur des b�timents et des espaces verts du domaine doit �tre pr�sent� en 2006-2007, selon le nouveau plan triennal de la CCNQ.

Un million de dollars est pr�vu aux d�penses de l�ann�e suivante pour des plans et devis concernant ce b�timent qui servit momentan�ment de r�sidence au gouverneur g�n�ral de 1860 � 1863.

Selon nos informations, le projet d��cole d�h�tellerie est toujours dans l�air et des n�gociations sont en cours avec le minist�re de l��ducation et la commission scolaire de la Capitale � ce sujet. Il reste � d�nicher un partenaire priv�.

Voir aussi ce billet.

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Gilles Duceppe est maintenant au micro pour conclure le forum.

Il r�sume les points des conf�renciers, en teintant le tout d'argument souverainiste : Le Canada il est michant, le Qu�bec il est gentil, et une fois souverain nous serons capable d'aller sur la lune. Duceppe reprend ses arguments souverainistes g�n�raliste, et essaie de les faire co�ncider avec les termes de la conf�rence et en y mettant une saveur locale.

Oh! Et on apprend que nous serons souverains en 2015 et que cela aura comme cons�quence de r�duire de moiti� notre d�pendance au p�trole.

Ovation debout.

D�ception.

� quand une conf�rence d�politis�e?

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Mario Asselin, Associ� et Directeur g�n�ral de Opossum Inc. � Qu�bec

Pourquoi ne pas faire de Qu�bec une ville Internet sans fil ?

Mario Asselin est � l'origine de la pr�sence de blogueurs � cette conf�rence.
Il annonce que le jardin St-Roch sera bient�t une zone Internet-ambiant (wireless)

Pr�sentation �court�e par manque de temps, malheureusement.

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Le prochain th�me : � grande vitesse

Dans un fran�ais difficile (j'aurais pr�f�r� qu'il parle en anglais, mais c'est une conf�rence organis�e par le Bloc qu�b�cois...), James P. RePass, PDG de National Corridor Initiative aux �tats-Unis, discute de la possibilit� d'impl�ment� un r�seau de trains � grande vitesse aux �tats-unis. Et si ce r�seau �tait connect� � Qu�bec?

Monsieur RePass d�bute en traitant humoristiquement de l'�lectrification du corridor du Nord-Est.

Il d�sire concentrer un syst�me de rail en Nouvelle-Angleterre et dans l'est du Canada.

Il s'attarde sur le mythe du rail, comme le fait que l'Am�rique du Nord ne peut se comparer � l'Europe en terme de densit� de population, ce qui serait un obstacle au rail selon ses d�tracteurs. Les participants approuvent par applaudissement.

Montr�al New York par TGV? 3 heures de voyage. 2 heures seulement avec un syst�me � l'europ�enne. "Pourquoi oublier Qu�bec, une des plus belles villes du monde," ajoute le conf�rencier.

Il faut coupler le retour du rail � un red�veloppement des centres-villes. Les gares peuvent facilement �tre install� en plein centre-villes, contrairement par exemple au a�roport.

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C'est au tour d'Yves Fortin, Producteur et pr�sident de Productions Thalie et pr�sident du Commissariat au cin�ma et � la t�l�vision de Qu�bec de s'exprimer sur le th�me du Rayonnement culturel.

Selon monsieur Fortin, la r�gion de Qu�bec n'a pas sa part dans le grand "tout" canadien. La r�gion de Qu�bec, comme d'autres r�gions, arrive peu � s'afficher dans le domaine culturel. Il ne se fait pas de cin�ma � Qu�bec, malgr� que la SODEC a tous les moyens pour qu'il en soit autrement.

Voil� une belle pr�misse, mais...

Le reste de son discours est plut�t une mont� de lait contre T�l�film Canada et l'aide d'urgence de 10 millions du gouvernement Charest qui est accompagn� de r�gle d'attribution mal pens�e et illogique.

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Prochain th�me : Rayonnement culturel

Premi�re pr�sentatrice : Louise Beaudoin, Professeure associ�e au D�partement de science politique � l�UQAM et chercheure associ�e au Centre �tudes internationales et mondialisation (CEIM) et � la Chaire de recherche en mondialisation, citoyennet� et d�mocratie.

Elle fut accueillie chaleureusement par les participants. Cependant, c'est le bout de conf�rence qui me rejoint le moins. D'autant plus que madame Beaudoin fait un beau petit discours avec des paroles qui frisent l'anti-am�ricanisme. Des surpris?

Elle ne parle pas vraiment de culture pour la ville de Qu�bec, mais plut�t de comment les michant Am�ricains veulent imposer leurs visions imp�rialistes de la culture, et de comment elle a cr�� plein de truc pour d�fendre la culture qu�becoise.

Un peu trop partisant, la conf�rence? Michael Carpentier est d'accord.

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Patrick Albert, Vice-pr�sident d�Acc�s Saint-Laurent Beauport

La construction de l'autoroute Dufferin-Montmorency a �limin� la majorit� des points d'acc�s au fleuve dans l'est de la ville. Il y a une barri�re physique importante.

Contrainte pour retrouver des acc�s au fleuve :

multiplicit� de ceux qui poss�dent les terrains (ports de Qu�bec, etc...)

R�glementation complexe (loi maritime du Canada, lois de l'environnement f�d�ral et provincial, lois du transport f�d�rale et provinciale, ainsi que les r�glements municipaux

Des visions contradictoires (r�cr�otouristiques, d�veloppement socio-�conomique, etc.)

Ce qui se fait dans d'autres villes :

• Chicago (voir une vue a�rienne de la zone c�ti�re : plage, f�te foraine, etc), Toronto waterfront revitalization project

Objectif : Atteindre un juste �quilibre entre le d�veloppement r�cr�otouristique et le d�veloppement industrialo-portuaire.

Durant la p�riode de questions, nous avons droit au St-Graal de la souverainet� : selon un membre de l'assistance, seule la souverainet� permettra au Qu�bec de ne pas devenir un Nouveau-Brunswick. Selon lui, l'agrandissement de la voie maritime fera que plus de bateaux nous passeront sous le nez sans qu'ils s'arr�tent.

Un autre s'exprime sur le fait que plus de gros bateaux seraient un probl�me pour les GES. Ils oublient s�rement que plus les bateaux peuvent allez loin, moins il faut utiliser de camion. Le navire est le moyen de transport le moins polluant, et le camion est celui qui pollue le plus.

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2e th�me de la journ�e : Vers l'Atlantique.

Le site Web de la conf�rence pr�cise :

La situation g�ographique de Qu�bec et sa splendeur lui conf�rent des atouts ind�niables en mati�re de qualit� de vie et d�attrait touristique. Il faut pousser cet avantage, notamment en mettant en valeur son caract�re maritime. Le Saint-Laurent pourrait tout naturellement devenir la porte d�entr�e de l�Atlantique pour le transport maritime et Qu�bec en sera un maillon important. D�autre part, l�am�nagement des berges du Saint-Laurent pourrait rehausser encore la splendeur de Qu�bec et redonner � la population et aux visiteurs de Qu�bec, l�acc�s au Saint-Laurent.

Jacques Paquin, Directeur g�n�ral de Innovation maritime. Sa pr�sentation d�bute en d�montrant l'importance du trafic maritime au Canada. Il en vient � parler plus pr�cis�ment du transport sur le St-Laurent.

Selon monsieur Paquin, le St-Laurent Est :

• Un corridor international
• Un syst�me de transport continental
• Un axe de transport unique (aucun autre fleuve ne permet de faire p�n�trer d'aussi gros bateau � l'int�rieur d'un continent)
• Une voie d'eau complexe
• Un milieu de vie
• Un �cosyst�me sensible

Le commerce maritime mondial augmente de 2,2% par ann�e depuis 1980, particuli�rement au niveau du transport de porte-conteneurs.

La cr�ation du Halifax Gateway Council est une menace � la comp�titivit� du port de Qu�bec.

Jacques Paquin conclu en mentionnant l'importance du fait que des choix s'imposent pour le St-Laurent continue d'�tre une voie d'acc�s sur le monde et ne devienne pas un cul de sac. Pas vraiment de suggestion par contre, outre le fait que le gouvernement doit mettre des fonds et des incitatifs au niveau des r�glementations.

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Le Bloc Qu�becois offre un acc�s Internet public, pour que tout le monde puisse suivre ce que disent les blogueurs. Cette premi�re est une curiosit� qui pour tout le monde.

La directrice des communications du Bloc nous lit (� gauche sur la premi�re photo), et TQS aussi.

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Jean-Baptiste S�rodes, Doyen de la facult� des sciences et de g�nie de l�Universit� Laval

Monsieur S�rodes est Ing�nieur doyen de la facult� des sciences et g�nie de l'Universit� Laval. On parle de changement climatique.

Au Qu�bec, il y a beaucoup d'efforts et d'argent mis dans l'�tude du ph�nom�ne et de ses impacts : le centre OURANOS et le r�seau arctinet, par exemple.

Pour Qu�bec, la Facult� des sciences et de g�nie de l'Universit� Laval a mis sur pied Technoclim, un centre d'excellence en technologies du changement climatique. Des centres du genre existent dans le reste du pays, mais rien de structur� n'existe au Qu�bec.

Technoclim se sp�cialise dans :

• Les �nergie renouvelables (�olien, photovolta�que -le solaire-, g�othermie, micro-turbine hydrauliques
• Les nouveaux combustibles (gaz�ification de la biomasse, piles � combustible, production d'hydrog�ne)
• La S�questration du carbone (Capture du CO2 par r�action enzymatique et carbonatation min�rale)
• Efficacit� �nerg�tique
• Mesure des GES

Il s'agit l� du noyau de d�part de TECHNOCLIM. Le futur centre d'excellence en technologie du changement climatique du Qu�bec serait bas� sur cet actuel Centre de recherches de l'Universit� Laval.

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Manon Th�berge, Directrice g�n�rale de la Bo�te � science

Ses pr�misses : Qu�bec est la 7e ville en terme de population, mais la seule dans les 20 premi�res sans centre de science.

Madame Th�berge mentionne le Telus world of science d'Edmonton, un endroit que j'ai visit�. Elle aimerait faire quelque chose de semblable pour Qu�bec. J'avais pass� une journ�e � faire un photoreportage pour le Edmonton Sun d'une bande de jeunes qui se sont amus�s � construire des fus�es. Un sp�cialiste leur montrait comment construire une petite fus�e pouvant �tre lanc� dans les aires, et qui, �ventuellement, allais retomber sur terre, freiner par un parachute. Il fallait voir les yeux illumin�s des jeunes! Quelques choses de semblable � Qu�bec? Anytime!

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Christiane Gagnon donne don mot de bienvenue et note le fait que des blogueurs accr�dit�s sont sur place. Une premi�re au Qu�bec.
Gille Duceppe est en premi�re ligne.

Voir aussi ce billet de Michael Carpentier

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Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 20 octobre 2006.

Ferm�e depuis mars pour transformations majeures, l�h�tellerie de l�Arm�e du salut, � Qu�bec, esp�re pouvoir rouvrir ses portes en d�cembre pour continuer d�h�berger les mis�reux.

Les travaux vont bon train, a indiqu� au Soleil, cette semaine, le porte-parole Mario Pelletier. � Nous ne pouvons rien garantir, a-t-il dit. Mais notre objectif est de rouvrir en d�cembre, � l�aube du nouvel hiver. �

De maison de chambres qu�elle �tait, l�h�tellerie de la c�te du Palais, dans le Vieux-Qu�bec, a �t� transform�e en immeuble � logements � prix modique. Les 100 chambres qu�elle comptait jadis feront place � 66 petits appartements qui permettront beaucoup plus d�autonomie aux pensionnaires.

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Source: �lisabeth Fleury, Le Soleil, 20 octobre 2006.

Nouveau rebondissement dans le controvers� projet d�agrandissement de la R�sidence Grande-All�e, � Qu�bec. Bien qu�ils aient sign� un bail jusqu�en juin 2007, � peu pr�s tous les locataires de la r�sidence pour personnes �g�es devront avoir quitt� leur chambre d�ici le 15 d�cembre.

� Ces hommes d�affaires agissent de fa�on �hont�e ! Ils jouent avec les locataires, ne leur disent rien, font tout en catimini. C�est inacceptable ! �, laisse tomber la fille d�une locataire, Claudette Marier, qui craint pour la sant� et le moral de sa vieille m�re de 92 ans. � On ne d�place pas comme �a des personnes de cet �ge-l�, qui ont fait de la r�sidence leur milieu de vie ! � (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Pr�s du parc du m�me nom, voici l'un des profonds "crat�res" creus�s en basse-ville dans le cadre du projet d'assainissement de la Saint-Charles.

Aussi, ce billet.

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Afin d'illustrer l'article ci-bas, j'ai pens� vous pr�senter ce projet d'immeuble ("Calgary's EnCana Corp. building $1 billion tower"), le plus haut � l'ouest de Toronto, annonc� r�cemment dans la m�tropole de l'Alberta...

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 octobre 2006.

Le boom �conomique en Alberta attire des entrepreneurs de la r�gion de Qu�bec. Un projet-pilote est mis sur pied par l'organisme de d�veloppement �conomique P�le Qu�bec-Chaudi�re-Appalaches pour aider les gens d'affaires qu�b�cois � d�crocher des contrats � Calgary. (...)

La suite.

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Source: Ville de Qu�bec (Communiqu�, 19 octobre 2006.)

(...) L��lot des palais, t�moin de l��volution de Qu�bec depuis plus de trois si�cles

Les r�sultats des fouilles d�montrent la richesse historique de l��lot des palais, comme lieu de pouvoir et d�activit�s industrielles et commerciales. � L�importance patrimoniale du site fait de lui un lieu de m�moire exceptionnel � transmettre aux g�n�rations futures �, a mentionn� Mme Boucher, avant d�ajouter : � C�est pourquoi la Ville a � c�ur de diffuser aupr�s du grand public les enseignements ainsi livr�s sur l��volution de la ville pendant quelque 350 ann�es�. Ainsi, le projet de mise en valeur comprend-il, notamment, la construction d�un centre d�arch�ologie et d�histoire. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir communiqu�... ce communiqu�!

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Source: Norman Delisle, pour Le Soleil, 19 octobre 2006.

L'ancien premier ministre Robert Bourassa a maintenant sa statue sur la Colline parlementaire � Qu�bec.

"A travers le d�voilement de son monument � l'Assembl�e nationale, il prend officiellement sa place dans l'histoire du Qu�bec", a comment� jeudi le premier ministre Jean Charest, lors d'une c�r�monie tenue en pr�sence de la veuve de l'ancien premier ministre, Mme Andr�e Bourassa-Simard, et des anciens premiers ministres Lucien Bouchard, Jacques Parizeau et Daniel Johnson. (...)

La suite.

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Source: Patrick Caux, Voir Qu�bec, 19 octobre 2006.

V�ritable ville dans la ville, le campus de l'Universit� Laval ne fait pas toujours l'unanimit�.

Constitu� de pavillons imposants parsem�s sur une plaine de gazon et d'asphalte, le campus est bien loin de l'id�al d'un quartier latin. Heureusement, tout cela est appel� � changer dans les ann�es � venir. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Avec cette image en introduction, permettez-moi de d�noncer l'inaction scandaleuse et le je-m'en-foutisme des conservateurs en mati�re d'environnement...

J'adresse donc un (autre) bolo bien personnel au gouvernement Harper!

� ce sujet, lire ces deux reportages sur le site de Radio-Canada...

� consulter aussi, le Protocole de Kyoto (Wikip�dia), la p�tition Sauvons Kyoto, de m�me que le site de la Fondation Suzuki.

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Source: R�seau du forum social de Chaudi�re-Appalache, La nuit des sans-abri, 24 septembre 2006.

Le Regroupement pour l�aide aux itin�rants et itin�rantes de Qu�bec organise cette ann�e, pour une cinqui�me �dition, l��v�nement de la Nuit des sans-abri, qui se d�roulera le 20 octobre 2006.

* � La Place de l�Universit� du Qu�bec au coin du Boulevard Charest et de la Couronne [o� le parc, pr�s de l'ENAP, pr�s de TQS].

La Nuit des sans-abri a pour but de sensibiliser la population au ph�nom�ne de l�errance et de l�itin�rance en la d�mystifiant. Des activit�s de sensibilisation pour toute la famille se tiendront de midi � 18h00, un spectacle anim� par le parrain de l��v�nement Paul-Andr� M�thot de 18h00 � 23h00, suivie de la vigile de nuit de 23h00 � 6h00 autour des braseros. (...)

Bon, l'boulot m'attend. Bonne journ�e, et... oui, mononc' Lucien, c'coup-l�, j'vas travailler fort fort! ;-)

Voir aussi ce billet (�dition 2005).

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 18 octobre 2006.

La fa�ade de l��glise Saint-Vincent-de-Paul semble sauv�e. Le minist�re de la Culture refuse la d�molition du dernier mur du b�timent historique. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 14 octobre 2006.

Les gens de la Vieille Capitale auront bient�t un acc�s direct aux donn�es recueillies par les diff�rents sismographes du pays.

La Commission g�ologique du Canada installera bient�t dans ses bureaux de la rue de la Couronne, � Qu�bec, un �cran qui diffusera en direct les mouvements de la Terre. L'�cran sera visible de la rue.

La r�gion de Qu�bec est un secteur actif en mati�re de tremblement de terre, c'est pourquoi les dirigeants de la Commision jugeaient cette initiative n�cessaire.

Des �tudes ont d�montr� que Qu�bec fait partie des six villes canadiennes les plus expos�es aux risques sismiques.

Voir aussi ce billet, de m�me que ce dossier d�crivant le S�isme de 1988.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 17 octobre 2006.

1967. La statue de la Vierge dans la grotte de Notre-Dame-de-Gr�ce fait un clin d��il � une jeune fille de Saint-Sauveur, attirant par la suite des milliers de croyants. Trente-neuf plus tard, les jeunes des Chantiers urbains travaillent � la � r�surrection � de l�endroit. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Dimanche 22 octobre, Le Boc Qu�becois organise la conf�rence Qu�bec Carrefour International. Au menu : Savoir et excellence, Vers l�Atlantique, Rayonnement culturel et � grande vitesse. Les d�tails sont disponible sur le site web www.carrefourquebec.com

Qu�bec urbain sera sur place. � partir de 9h00 et tous au long de la journ�e, vous pourrez lire ici-m�me mes observations et commentaires en direct de la conf�rence. D�autre blogueurs seront sur place. Le site web de la conf�rence servira d�aggr�gateur de nouvelle, et vous pourrez donc y suivre ce qu�ils auront � dire.

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Sur le site Fortier services immobiliers, on pr�cise que "l'�difice du 2796, boul. Laurier sera livr� d�s octobre 2007". Finalement, cet immeuble de dix �tages (qui s'annonce pour �tre de toute beaut�!) pr�c�dera-t-il l'autre planifi� sur l'emplacement du Bureau en gros, plus � l'ouest sur le boulevard Laurier?

Cette bonne nouvelle coincide avec mon retour apr�s quelques jours d'absence: mon "ordinosaure", heureusement, se porte bien au sortir d'un court s�jour � l'"h�pital"! ;-)

Voir aussi ce billet.

Merci � Fr�d�ric Marcil pour cette information!

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Il est maintenant possible d�acheter certaines photos publi�es sur Qu�bec urbain. Il suffit de consulter la page � Ville de Qu�bec � de mes archives photos et d�utiliser le bouton � buy/licence � juste en haut de l�image qui vous int�resse.

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Source: Jacinmon Reid, Qu�bec Hebdo, 17 octobre 2006

La pr�sence d�algues bleues dans le lac Saint-Charles a provoqu� quelques inqui�tudes au sujet de la qualit� de l�eau du lac qui alimente en eau potable pr�s de 250 000 r�sidants de Qu�bec.

� la suite de la d�couverte par une riveraine, dimanche dernier, d�une fleur d�eau form�e par des cyanobact�ries (algues bleues) dans le secteur de la Baie des �chos du lac Saint-Charles, la Direction r�gionale de la sant� publique de la Capitale-Nationale a proc�d� � une inspection visuelle le 17 octobre dernier qui n�a par contre pas permis de d�celer de traces de nouvelles cyanobact�ries.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 17 octobre 2006

Les Villes de Qu�bec et de L�vis ont toutes deux adopt� un plan de gestion de mati�res r�siduelles similaire, afin d'atteindre l'objectif fix� par le gouvernement. Selon la politique qu�b�coise de gestion des mati�res r�siduelles, les municipalit�s doivent atteindre un taux de r�cup�ration de 60 % d'ici 2008.

Voir la suite.

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Source: R�gys Caron, Le Journal de Qu�bec, 16 octobre 2006

Devant l'empressement de la mairesse de Qu�bec de construire des tours � condos de luxe sur les domaines religieux, des architectes et des urbanistes r�clament un temps d'arr�t. �On est en train de faire un urbanisme de promoteurs�, s'inqui�te l'architecte Anne Gu�rette, qui vient de lancer la Coalition H�ritage Qu�bec, dont la mission est de sensibiliser la Ville de Qu�bec aux dangers de prendre des d�cisions trop vite et de commettre des erreurs qu'il serait impossible de r�parer par la suite.

Voir la suite. Voir aussi autre article du m�me auteur. Voir ce billet.

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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 15 octobre 2006

La Soci�t� immobili�re du Qu�bec (SIQ) d�cidera en janvier si elle proc�de � la privatisation de Place Qu�bec et de sa galerie marchande. Au d�but de 2007, la SIQ, propri�taire de Place Qu�bec, tranchera sur l�avenir de cet �difice qu�elle souhaite sortir de son giron.

� Une chose est certaine, un centre commercial, ce n�est pas dans la mission de la SIQ, indique Martin Roy, porte-parole du bras immobilier du gouvernement du Qu�bec. En janvier, nous allons �tre fix�s sur ce qui arrivera avec �a. � L��ventualit� d�une vente est dans l�air depuis plusieurs ann�es, mais M. Roy parle de � diff�rentes hypoth�ses � l��tude �. Il y a deux ans, une information a circul� � l�effet que le gouvernement cherchait � se d�partir de l�immeuble.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 15 octobre 2006

Des citoyens de la couronne nord de Qu�bec ont manifest� samedi, aux limites de Saint-�mile et de Lac Saint-Charles, pour r�clamer la construction d'un axe routier est-ouest entre le boulevard Valcartier et la rue De la Colline. e tron�on, de moins de 2 kilom�tres, est r�clam� depuis pr�s de 30 ans par des centaines de familles de militaires qui habitent les environs. Ces derniers doivent faire chaque jour un d�tour de 15 kilom�tres pour rejoindre la base de Valcartier.

Selon le porte-parole du groupe, Robert Simard, le gouvernement f�d�ral serait pr�t � investir dans le tron�on. Il demande donc � la Ville de Qu�bec d'acc�l�rer le traitement du dossier. es manifestants ont re�u l'appui du pr�sident de l'arrondissement, d'un conseiller du Renouveau municipal, Steve Verret, et des conseillers ind�pendants du secteur.

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Source: Marc Allard, Le Soleil, 14 octobre 2006

Un toit v�g�tal, un syst�me de chauffage g�othermique, une architecture qui se fond dans l�environnement. Bienvenue dans la biblioth�que verte de Charlesbourg.

� C�est v�ritablement un b�timent de l��re de Kyoto �, d�clarait cette semaine le d�put� �ric R. Mercier, lors de l�inauguration de la sixi�me biblioth�que la plus grande au Qu�bec. D�embl�e, c�est le toit vert qui frappe. � premi�re vue, il ressemble � un terrain d�herbes folles ou � un gazon mal tondu. Il est en fait recouvert de gramin�e, sous laquelle se trouve un terreau, une membrane antiracine et un coussin drainant en cas de s�cheresse.

Les avantages ? � Quand il pleut, le sol va absorber l�eau au lieu de l�envoyer dans le syst�me d�aqueducs, explique l�architecte �ric Pelletier, dont le cabinet Croft-Pelletier a empoch� � la suite d�un concours le contrat de la nouvelle biblioth�que de Charlesbourg. C�est tr�s bon, parce que quand il pleut beaucoup, il peut y avoir des probl�mes de d�bordement comme il y a � L�Ancienne-Lorette. �

Autre avantage, la verdure prot�ge le toit contre le soleil. Ainsi, en cas de grande chaleur, les rayons ne r�chauffent pas l�int�rieur du b�timent, r�duisant la charge de climatisation. � En fait, c�est un poumon qu�on rajoute, poursuit M. Pelletier. Donc, on r�duit les gaz � effet de serre. �

Voir aussi ce billet.

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Acheter cette photo

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Sur une autre note, pour avoir d�j� fr�quent� souvent ce commerce � ses d�buts en 2001, j'avais aim� beaucoup cette boulangerie, dans la rue St-Joseph en pleine revitalisation.

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 13 octobre 2006

V�ritable success story du microcr�dit � Qu�bec, la boulangerie La Bo�te � Pain de la rue Saint-Joseph n�en finit plus de grandir. � Nous comptons maintenant 30 employ�s et notre chiffre d�affaires d�passe le million de dollars �, souligne le propri�taire, Patrick Nisot.

En 1999, apr�s avoir essuy� le refus de cinq institutions financi�res � qui il demandait un pr�t, Patrick Nisot a abouti au Fonds d�emprunt �conomique communautaire de Qu�bec. Le petit organisme de la rue du Roi, qui se sp�cialise dans le microcr�dit � Qu�bec, lui a alors ouvert grand ses portes. � Le projet �tait bon et il cadrait avec notre philosophie �, indique la directrice g�n�rale, Linda Maziade.

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Source: Lucie Lavigne, La Presse, 10 octobre 2006

Difficile de trouver des propri�taires plus verts qu'Anne-Marie McSween et Dominique Leroux. Passionn�s par la construction saine, ils ont prouv� qu'il n'�tait pas n�cessaire d'�tre millionnaire ou extravagant pour faire des r�novations tout en pr�servant l'environnement. Leur solution? Une m�gadose de d�termination, de la patience et beaucoup de temps.

�On a r�nov� de mani�re �cologique parce que �a correspond � nos valeurs sociales, explique Dominique Leroux, 33 ans, ing�nieur informatique stagiaire. Nous voulons �galement encourager les gens � faire de m�me.�

Voir la suite.

Est-ce que ce genre de projet est plus susceptible de changer le paysage urbain de banlieue ou celui de la ville ??? Aussi sur cette page Internet, il y a de nombreux liens vers d'autres sujets du m�me ordre. Pour ceux qu'ils ne sont pas int�ress�s par le sujet, changer de billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 13 octobre 2006

L'am�nagement d�finitif de la baie de Beauport en vue des f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec a �t� d�voil� vendredi apr�s-midi. L'imposant b�timent central qu'on envisageait de construire et qui �tait contest� par les utilisateurs au printemps dernier, fera place � cinq b�timents plus petits, dont un b�timent multifonctionnel et un autre de services pour les v�liplanchistes.

Une piste cyclable, des zones d'activit�s sportives et des espaces pour l'observation des oiseaux seront aussi am�nag�s.

Le pr�sident-directeur g�n�ral du port de Qu�bec, Ross Gaudreault, qui a longtemps h�sit� devant le projet, semblait s'�tre ralli�. � �a fait 20 ans que les politiciens locaux, provinciaux et f�d�raux viennent faire des discours qu'ils veulent avoir un projet � la baie de Beauport, mais le ch�que n'�tait jamais venu. Tandis que l�, au moins, on a le ch�que �, dit-il.

Il indique que le gouvernement du Canada accorde 19,3 millions de dollars pour r�aliser le projet de la baie de Beauport. La construction commencera d'ici la fin du mois d'octobre.

Voir aussi ce communiqu�.

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Image prise du site historique de la visitation. � l'intersection du chemin Sainte-Foy et de la route de l'�glise. Par un beau dimanche apr�s-midi.

Merci � Serge Alain pour l'inspiration. ;-)

Photographie en ordre:

1-C�t� est, vers la sacristie
2-La nef � ciel ouvert c�t� nord
3-Ancien presbyt�re
4-Fa�ade c�t� sud
5-Parc c�t� sud de l'�glise
6-Fa�ade ouest
7-Parc c�t� sud de l'�glise
8- La sacristie
9-La nef vu d'un autre angle.

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La grande exposition les id�es ALLANT vert� le 22 octobre 2006

Le 22 octobre 2006, au Mus�e de la civilisation du Qu�bec, Qu�bec�ERE, la Ville de Qu�bec, la CD�C de Qu�bec, la Ressourcerie La Commode, Fripes et trouvailles et Concertation Recyclage Qu�bec auront le plaisir de pr�senter, pour une troisi�me ann�e cons�cutive, un �v�nement c�l�brant l�atteinte d�une meilleure gestion des mati�res r�siduelles � Qu�bec.

Voir la suite.

Des entreprises d��conomie sociale comme La Commode, il y en a d�autres tel que : Le V�lo Vert,et la Bouquinerie Trait d�union, pour ne nommer que ceux-l�.

Et comme disait Th�odore Monod "Le peu, le tr�s peu que l'on peut faire, on doit le faire..."

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L'article qui suit confirme les pr�cisions apport�es par Christian dans son commentaire portant sur le billet pr�c�dent: cet immeuble "promet" dans le paysage du centre-ville, m�me si personnellement, j'aurais pr�f�r� un �difice plus �lanc� (une dizaine d'�tages), ce qui aurait d�gag� un espace plus grand pour un parc urbain...

Un nouvel �difice pour l'Universit� du Qu�bec dans St-Roch (Source: Daphn�e Dion-Viens, Le Soleil, 12 octobre 2006.)

L�Universit� du Qu�bec s�agrandit. Un nouvel �difice, situ� dans le quartier Saint-Roch � Qu�bec, abritera logements, bureaux et salles de cours. Sa construction, qui vient de commencer, est �valu�e � pr�s de 7 millions $.

Apr�s avoir inaugur� les premi�res r�sidences �tudiantes du quartier, l�automne dernier, l�Universit� du Qu�bec r�cidive en investissant dans un b�timent de quatre �tages qui abritera d�autres logements : 42 studios et trois appartements.

L�immeuble situ� sur la rue Fleurie, entre Lachapelle et du Parvis, accueillera aussi les bureaux du si�ge social de l�universit� et des salles pouvant servir aux cours, r�unions ou conf�rences. L��difice ouvrira ses portes en septembre 2007.

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Source: Marc Allard, Le Soleil, 12 octobre 2006.

Robert Lepage regrette d�avoir utilis� le mot x�nophobe pour qualifier l�attitude des gens de Qu�bec envers les immigrants. Dans une lettre qu�il a envoy�e au Soleil hier (voir p. 20), l�homme de th��tre temp�re ses propos, mais maintient que la capitale n�est pas encore assez ouverte.

� Le mot est-il trop fort ? Oui �, �crit M. Lepage. Car dans le dictionnaire, il signifie plut�t � hostile aux �trangers �.

� Je ne pense pas que les gens de Qu�bec soient hostiles aux �trangers. Je persiste � croire cependant que plusieurs d�entre eux ont peur des �trangers parce qu�ils n�ont pas la chance d�en c�toyer beaucoup (...) �, temp�re-t-il dans sa lettre.

Pour l�auteur, l�ouverture aux communaut�s �trang�res ne peut qu�enrichir la soci�t� qu�b�coise. Raison pour laquelle il participait � la Foire de la diversit� culturelle, samedi � Qu�bec, en tant que pr�sident d�honneur.

Aussi, ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 12 octobre 2006.

La Ville de Qu�bec devra poursuivre ses efforts en vue de pr�server la for�t urbaine face � de nouveaux d�fis que provoque le d�veloppement domiciliaire dans certaines banlieues et au centre-ville.

C'est l'un des constats qu'a faits le directeur de la foresterie urbaine de Qu�bec, Jacques Grantham, lors de la septi�me conf�rence canadienne sur la for�t urbaine � laquelle participent environ 250 sp�cialistes de tout le pays. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Pour mettre un peu de baume au retour de la grisaille, la conclusion de ma s�rie de reportages photo effectu�s un peu partout le week-end dernier dans les quartiers centraux de Qu�bec...

Dans l'ordre:
Photo 1: vue en direction N sur le jardin de Saint-Roch, 7 octobre 2006;
Photo 2: sc�ne croqu�e sur la 8e Avenue, 8 octobre 2006;
Photo 3: vue en direction N sur l'�difice Price � partir du parc du Mont-Carmel, 8 octobre 2006;
Photo 4: feuillage d'automne et Hilton, vue en direction O, 8 octobre 2006.

Voir aussi ce billet.

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Voil� des ann�es que je passe au voisinage de cet immeuble (je vous laisse deviner lequel!), et pourtant, c'est la premi�re fois que je remarque l'aspect inusit� de sa fa�ade sud.

Ses concepteurs auraient-ils �t� influenc�s par l'oeuvre "moderniste" d'Antoni Gaudi qui a contribu� � la r�putation de Barcelone?

Aussi, ce billet.

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On en discute sur le forum!

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 11 octobre 2006.

La compagnie d'assurances SSQ [billet] a d�cid� de construire sa propre station d'autobus devant ses locaux du boulevard Laurier pour inciter ses employ�s � prendre l'autobus.

La compagnie d'assurance SSQ devient la premi�re entreprise priv�e de la r�gion de Qu�bec � construire une station d'autobus. La compagnie s'occupera �galement de l'entretien de l'abribus.

Les usagers du R�seau de transport de la capitale semblent plut�t d'accord avec cette forme de partenariat public-priv�. Certains croient que l'argent ainsi �conomis� par le RTC pourrait servir � am�liorer le service de transport en commun.

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Nouvelle partie de la biblioth�que de Charlesbourg, en pleine finition ext�rieur, incluant le toit v�g�tal.
Voir aussi ce billet et ce lien. Pour les toits verts voir ce billet.

Photographies en ordre:

1- Entr� de la biblioth�que, c�t� ouest.
2- Fa�ade c�t� ouest.
3- Fa�ade c�t� ouest, un peu plus vers le nord.
4-Toit v�g�tal vu du nord-ouest.
5-Toit v�g�tal vu du nord-est.

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Vue d'ensemble, rapproch�e, � partir de la Gare d'autobus de Qu�bec (rue Abraham-Martin).

Aussi, ce billet.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 10 octobre 2006.

N�entrera plus qui veut � l�h�tel de ville de Qu�bec. La Ville d�pensera 7 millions $ pour le s�curiser et finir de r�am�nager les locaux, faisant grimper le co�t total de la r�novation de la � maison du citoyen � � plus de 16 millions $.

La r�fection de l�h�tel de ville de Qu�bec a d�j� co�t� 9,3 millions $ depuis la fusion municipale en 2002. C�est trois fois plus que l�estimation de d�part.

Apr�s avoir climatis� l��difice b�ti en 1896 et b�ti plusieurs locaux, l�administration veut maintenant rendre l�h�tel de ville plus s�curitaire, a appris Le Soleil.

La suite.

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Clocher de l'�glise Saint-Charles-Borrom�e, un beau dimanche apr�s-midi. Voir aussi ce lien.

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D�j� qu'on est pogn� avec ce fl�au qu'est le SPAM [billet de francis]...

Si au moins, les "ados attard�s" auteurs de ces �neries avaient le courage de se nommer au complet!! � titre d'exemple, un certain Stephen [billet] qui sans doute pour se d�fendre, brandira la sacro-sainte "lib��rt�" de parole!!

Je pourrais brandir d'autres exemples ici, mais ce n'est pas dans ma nature de faire de la d�lation, et je n'ai pas de temps � perdre avec �a: certains imb�ciles grassement pay�s l'on fait suffisamment dans le pass� � Qu�bec. On n'y reviendra pas...

Sur une plus positive, pour ma part, il est clair que si je poursuis l'aventure de Qu�bec Urbain, c'est que je suis motiv� par la qualit� de la grande majorit� des interventions (tr�s articul�es et r�fl�chies) de ses lecteurs assidus - que l'on soit d'accord ou non avec eux - qui se d�marquent par leur sensibilit�, leur culture g�n�rale, et surtout, leur grand amour pour Qu�bec, ma ville!

Bref, pour ceux qui n'embarque pas dans ce moule, en attendant la mise sur pied d'un code d'�thique � Qu�bec Urbain (j'ai besoin de suggestions!), je leur sugg�re qu'ils aillent manifester leur manque de savoir-vivre sur des tribunes pupulistes, h�las toujours nombreuses.

Voil�! Pour l'instant, je prends cong� de Qu�bec Urbain aujourd'hui! ;-)

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Quel cong� de l'Action de Gr�ce splendide pour les maniaques de photos! Je n'ai pu r�sister � la tentation de vous pr�senter ces nouvelles images (7), parfois surr�alistes, immortalis�es dans ce magnifique parc de Qu�bec cet apr�s-midi. Gageons que nos amis Francis, Carol et Serge en ont aussi largement profit�! ;-)

Je me souhaite un ciel tout aussi lumineux pour les Oies blanches, le week-end prochain...

Dans l'ordre:
Photo 1: Domaine Maizerets;
Photo 2: Domaine Maizerets (rose solitaire);
Photo 3: Domaine Maizerets;
Photo 4: Domaine Maizerets (secteur du marais);
Photo 5: Domaine Maizerets (section Arboretum);
Photo 6: Domaine Maizerets (secteur Arboretum).

Voir aussi ce billet.

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�glise St-Pascal de Maizerets, dans le Quartier Limoilou, appell� aussi Maizerets et/ou St-Pascal.

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Sur l'affiche, on parle d'une phase 1 pour un investissement d'une dizaine de million $. Cette r�novation touchera-elle l'enveloppe ext�rieure de la tour? Renseignez-nous, car je n'ai rien trouv� � ce sujet dans le site de la Soci�t� immobili�re du Qu�bec...

Pour ma part, je persiste et je signe: tant qu'� investir dans le "G", pourquoi ne pas concevoir dans ses cours b�tonn�es un nouvel attrait touristique digne de 2008, comme par exemple celui abord� dans ce billet?

Peu importe le concept retenu, en souhaitant tout de m�me que le r�sultat final ne sera pas � l'image de ce qui est illustr� ci-bas! :-))

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Image prise du site historique de la visitation. � l'intersection du chemin Sainte-Foy et de la route de l'�glise.

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C'est la saison des navires de croisi�re � Qu�bec! Au moins quatre beaux sp�cimens jetaient l'ancre au Vieux-Port ce week-end, dont le Sea Princess (photos 1 � 3, et 9), le Crystal Symphony (photos 4 � 6) et le Maasdam (photos 7 et 8).

Je vous invite par ailleurs � venir contempler les magnifiques images de paquebots que nos amis de L�vis Urbain mettent en ligne depuis quelques jours dans leur site! Signalons enfin que le plus imposant d'entre eux, le Queen Mary 2, reviendra le 17 octobre.

Dans l'ordre:
Photo 1: le Sea Princess, vue rapproch�e � partir de la Citadelle;
Photo 2: le Sea Princess, vue en direction E;
Photo 3: le Sea Princess, vue en direction S;
Photo 4: le Crystal Symphony, vue en direction E;
Photo 5: le Crystal Symphony, vue en direction S;
Photo 6: le Crystal Symphony, vue en direction SE � partir du bassin Louise;
Photo 7: le Massdam, vue en direction E (ajout 8 octobre);
Photo 8: le Massdam, vue en direction SE (ajout 8 octobre);
Photo 9: le Sea Princess, vue en direction SE � partir du parc Montmorency (ajout 8 octobre).

Voir aussi ce billet, ainsi que l'horaire des bateaux.

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Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 7 octobre 2006.

Qu�bec est une ville x�nophobe, constate l�artiste Robert Lepage. Refusant d�accoler l��tiquette de racistes � ses concitoyens, le concepteur de La Trilogie des dragons les invite n�anmoins � une plus grande ouverture envers les immigrants. (...)

La suite. � consulter aussi, ces deux billets.

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[Photo: Sophie Vachon]

Des dizaines de ballons s�envolent dans le ciel du parc Maria Goretti � Qu�bec lors d�une c�r�monie des Pers�ides, un groupe de soutien aux parents en deuil p�rinatal (perte d'un b�b� en cours de grossesse ou en bas �ge), samedi 7 octobre 2006. Chaque couple laisse s'envoller un ballon par enfant qu�ils ont perdu. Un bleu pour un gar�on, un rose pour une fille, ou un blanc si le sexe �tait inconnu. Certain couple avait jusqu�� quatre ballons.

Quelque part dans cet envoi multicolore, le ballon bleu de Victor, fils de Francis Vachon et madame Qu�bec Urbain 2.0, n� � la 19e semaines de grossese le 24 septembre 2006.

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... Faudrait savoir par contre si les volatiles habitant le parc du m�me nom, � l'exemple de quelques r�sidants privil�gi�s du secteur du Vieux-Port [billet], appr�cient dans leur cour, m�me sur une base occasionnelle, de "bruyants" spectacles comme ceux en vedette lors du Festival d'�t�! ;-)

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L'ensemble de condominiums projet�, semblable � celui illustr� ci-haut, s'ajoutera aux quelque 233 unit�s d'habitation d�j� �rig�es sur le terrain situ� � la pointe que forment les rues Bourdages et Montseigneur-Plessis.

Source: Le Soleil (publi-reportage), 6 octobre 2006.

(...) Le propri�taire de l'entreprise, M. Jacques A. Boucher, confirme au cours d'une entrevue qu'il entreprendra, d�s le printemps prochain, la construction de 83 unit�s haut de gamme en copropri�t�. L'immeuble de sept �tages s'�l�vera en bordure de la rue Bourdages, face � la rivi�re Saint-Charles. (...)

Voir aussi ce billet.

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Source: Ville de Qu�bec.

Qu�bec, le 5 octobre 2006 � La mairesse de Qu�bec, Mme Andr�e P. Boucher, la sup�rieure du Monast�re des Augustines de l'H�pital g�n�ral de Qu�bec, S�ur Aline Plante et Monseigneur Gilles Lemay, �v�que auxiliaire du dioc�se de Qu�bec, ont proc�d� aujourd�hui au d�voilement d'une �uvre d�art public rendant hommage aux communaut�s religieuses hospitali�res. Ce monument est �rig� en bordure de l�H�pital g�n�ral de Qu�bec, sur le boulevard Langelier (...)

La suite.

Merci � G�rald Gobeil pour cette information!

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Source: Yan Turgeon, Voir Qu�bec, 5 octobre 2006.

Au bureau du zonage de la Ville de Qu�bec, il s'agit d'un terrain anodin. Au Service de l'environnement (de la m�me Ville), il s'agit d'un terrain hautement contamin�. Un seul site, une seule Ville, deux diagnostics.

Le r�pertoire des terrains contamin�s du minist�re du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs fait �tat de 607 terrains contamin�s dans la Capitale-Nationale, soit un dixi�me du nombre enregistr� dans la province. Pour la seule ville de Qu�bec, on compte 458 lots pollu�s, dont 294 ont �t� r�habilit�s, quoique plusieurs rec�lent encore des hydrocarbures p�troliers et autres mati�res dangereuses: benz�ne, �thylbenz�ne, tolu�ne, xyl�nes, arsenic, etc. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Quel temps magnifique pour cette derni�re s�rie de photos illustrant l'�volution des travaux de la phase III, � toute fin pratique achev�s dans la portion est!

Prochain rendez-vous: printemps 2007?

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction SO � partir du pont Lavigueur;
Photo 2: Vue en direction N � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 3: Vue vers le S � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 4: Vue vers le N � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 5: Vue en direction NO � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 6: Vue en direction O � a partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 7: Vue en direction O � partir du secteur de l'h�pital du Sacr�-Coeur;
Photo 8: Vue en direction O, pr�s du pont Marie-de-l'Incarnation (arri�re-plan: HLM Marie-de-l'Incarnation);
Photo 9: Vue vers le NE � partir du pont Marie-de-l'Incarnation.

Voir aussi cet autre billet (phase IV).

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 5 octobre 2006

Le promoteur du projet de construction d�un h�tel dans l�ancien Patro Saint-Vincent-de-Paul, en bordure de la c�te d�Abraham, a franchi, mercredi, une premi�re �tape pour obtenir la permission de d�molir le seul mur de l��glise qui n��tait pas encore tomb� sous les assauts des d�molisseurs.

Voir la suite.
Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 5 octobre 2006.

Alors que la r�gion de Qu�bec vit une situation de plein emploi [billet] et que le quartier Saint-Roch se d�veloppe, la pauvret� gagne du terrain dans Limoilou. � Moisson Qu�bec, on note que les familles de ce quartier sont de plus en plus nombreuses � demander de l'aide. (...)

La suite.

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On fait parfois de dr�les de d�couvertes, quand on fouille dans nos vieilles affaires, tel un vieux num�ro de la d�funte revue CROC, dat� de mai 1991, avec son "Sp�cial Qu�bec"!

Voici donc d�peints sous les habiles traits de crayon de Serge Gaboury des personnages pas si lointains qui ont color� la sc�ne municipale en cette �poque o� l'on nommait l'avant-nouveau Saint-Roch "Plywood City" (ci-haut). On parle des Arthur, Gillet, Lallier, Aubut... et notre immortelle et toujours mairesse madame Boucher (ci-bas)!

Comme dirait l'autre, "plus �a change, plus c'est pareil"...

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La photo ci-haut t�moigne des derniers moments d'existence de la fa�ade de l'�glise qui avait pignon sur rue, c�te d'Abraham: tout le patro Saint-Vincent-de-Paul sera finalement d�moli.

L'histoire se r�p�te donc, � l'exemple du Saint-Patrick (sur Grande-All�e), il y a quelques ann�es...

La fa�ade de l'�glise Saint-Vincent-de-Paul ne sera plus (Source: Radio-Canada Qu�bec, 4 octobre 2006.)

Le promoteur immobilier qui veut construire un h�tel � la place de l'ancienne �glise Saint-Vincent-de-Paul entend d�molir la fa�ade qu'il juge trop d�labr�e et dangereuse. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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La Ville de Qu�bec vient d'annoncer la liste des r�alisations mises en nomination dans le cadre du Prix du public du concours des M�rites d�architecture 2006 (Communiqu�).

On pourra voir d�s le 5 octobre les photos de ces b�timents sur le site Internet de la Ville de Qu�bec (section Sujets de l�heure).

En attendant, voici l'angle photo "Qu�bec Urbain" de ces six nomin�s...

Photo 1: le Campus de Qu�bec du C�gep Limoilou, pour la r�novation de son entr�e principale [billet];
Photo 2: le Pavillon Gene-H.-Kruger de l�Universit� Laval;
Photo 3: l��difice Roland-Giroux, habit� notamment par la SSQ Groupe financier [billet];
Photo 4: l'immeuble d�habitation Le Saint-Paul (en-t�te du billet);
Photo 5: le Complexe de sant� de la Capitale [billet];
Photo 6: l�Institut national de la recherche scientifique [billet];

Voir aussi ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour l'information!

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Source: Guy Benjamin Le Soleil, 3 octobre 2006

Les usagers des stationnements souterrains ou �tag�s de la r�gion de Qu�bec n�auraient pas � craindre pour leur s�curit�. Ces �quipements sont inspect�s et r�par�s r�guli�rement, qu�ils appartiennent � l�entreprise priv�e ou au gouvernement. Des travaux importants sont en cours dans trois stationnements, dont deux appartiennent � l�entreprise priv�e. L�ouvrage de cinq �tages de Place Cartier, pr�s du boulevard Charest dans le centre-ville de Qu�bec, le stationnement �tag� derri�re Place Sainte-Foy, et le stationnement de Place Qu�bec sont � subir des travaux majeurs.

Voir la suite.

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Source: Jean-Fran�ois N�ron Le Soleil, 3 octobre 2006

Le viaduc du boulevard Charest, qui enjambe du Vallon, ne pr�sente aucun risque, selon le minist�re des Transports. N�emp�che, il pourrait �tre reconstruit d�ici cinq ans.

C�est ce que garantit le sous-ministre adjoint aux Transports pour la r�gion de Qu�bec et l�est de la province, Jean-Louis Loranger. Il r�pondait ainsi � un article paru hier dans Le Soleil sur les signes de vieillissement pr�matur� de l��changeur du Vallon-Charest. Une conclusion tir�e d�une �tude datant de 2004. On y soulignait aussi l�urgence d�agir d�ici 2014.

� Nos rapports nous disent qu�il est s�curitaire pour 10 ans �, r�torque M. Loranger. Malgr� cela, le ministre des Transports, Michel Despr�s, a peut-�tre bien mis la table pour devancer la construction d�un nouveau viaduc. En effet, il a demand� � son minist�re une �tude sur l��largissement possible de du Vallon pour y implanter une voie r�serv�e aux autobus.

� Si on arrive avec un projet global qui int�gre d�autres caract�ristiques comme l�am�nagement d�une voie r�serv�e, une construction pourrait bien se faire dans un horizon de cinq ans �, sugg�re le sous-ministre.

Voir aussi billet pr�c�dent.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 2 octobre 2006.

L�administration de la mairesse Andr�e Boucher a adouci son projet de politique de d�neigement, mais l�opposition officielle n�en veut toujours pas, car on continue de r�duire le d�neigement de 3 % des trottoirs.

Tant pis pour l�harmonisation, il ne faut pas toucher aux trottoirs, dit le Renouveau municipal de Qu�bec, le parti de la fusion municipale.

La nouvelle politique pr�voit que la Ville cessera de d�neiger 30 km de trottoirs sur un total de 950 km de trottoirs d�neig�s.

Cette r�duction am�ne des �conomies de 100 000 $. Au total, la politique de d�neigement pr�voit des �conomies de 1,6 million $ sur un budget de 41 millions $.

� consulter, ce billet.

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Au nord de la coop�rative de l'Ilot Fleurie ont d�but� il y a quelques semaines la construction de l'�difice Fleurie. Cet immeuble s'ajoutera au nouveau complexe de l'Universit� du Qu�bec (photos: 31 ao�t 2006). Dans ce site, de nombreuses esquisses sont expos�es.

L'�difice Fleury aura finalement une vocation mixte, comme en t�moigne sa nouvelle apparence � comparer avec le projet de 2004 appel� "Phase 2 des r�sidences �tudiantes" [billet] qui a fait l'objet de plusieurs critiques dans des billets ant�rieurs sur Qu�bec Urbain.

� consulter aussi, cet autre billet.

Merci � Alex Caron pour l'information!

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R�f�rence la trag�die qui s'est d�roul� � Montr�al, un viaduc qui s'�croule apr�s avoir �t� inspect�, suite a une chute de d�bris.

Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 1 octobre 2006

Habitu�s � surveiller les nids-de-poule, les automobilistes de Qu�bec auraient tout int�r�t � jeter un coup d��il en l�air. Au cas o� le ciel leur tombe sur la t�te. Petite visite guid�e des pires viaducs de la capitale.

Si le pont de Qu�bec charme par le c�t� rustique de ses poutrelles d�acier, une surprise de taille attend les automobilistes � leur entr�e de la ville. Sur les c�t�s de la route, des blocs de b�ton de la taille d�une balle de baseball reposent sur les bas-c�t�s. Leur origine ? Le tablier du viaduc permettant au chemin Saint-Louis d�enjamber la route d�acc�s. Plus de la moiti� de sa surface est maintenant d�nud�e de sa couverture b�tonn�e, laissant para�tre son armature qui forme d�immenses damiers au-dessus des v�hicules.

Certes, ces observations visuelles permettent uniquement d��valuer le vieillissement de l�enveloppe de la structure. Pas sa dur�e de vie. Mais le viaduc du chemin Saint-Louis serait bel et bien dans la mire du MTQ, selon des informations obtenues par Le Soleil. Le pont devait r�cemment �tre remis � neuf, mais les ing�nieurs de Qu�bec ont choisi de refaire en priorit� celui permettant au chemin Sainte-Foy d�enjamber l�autoroute Duplessis.

Voir aussi cet article.

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