Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Six nouvelles places éphémères à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2019 Commentaires fermés sur Six nouvelles places éphémères à Québec

Radio-Canada

Avec l’arrivée de l’été vient aussi l’ouverture des places éphémères. Des espaces publics aménagés le temps d’une saison pour permettre aux citoyens de se prélasser en plein air. Six nouveaux endroits seront proposés aux citoyens cette année.

Ces nouvelles places éphémères s’ajoutent aux 18 déjà existantes. Elles sont situées à divers endroits dans la ville de Québec, à Cap-Rouge, au centre-ville, à Beauport et Loretteville entre autres. L’aménagement de ces lieux sera terminé dans les prochains jours.

Les nouveaux espaces en 2019 continuent de miser sur l’art, la végétation et la fraîcheur et sont ouverts à tout le monde.

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Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Art urbain.

Esclavagisme et présence noire dans l’Histoire de la ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2019 Commentaires fermés sur Esclavagisme et présence noire dans l’Histoire de la ville de Québec

Journal Voir

Avec les tours guidés QC History X, l’auteur de la chanson du même titre lève le voile sur une série de récits méconnus qui témoignent de l’esclavagisme et de la présence noire dans le secteur aujourd’hui fréquenté par les touristes. Cette visite, d’une durée d’environ deux heures, a vraiment le potentiel de changer nos perceptions, particulièrement en ce qui a trait à François-Xavier Garneau!

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire.

Diverses nouvelles en lien avec le Grand-Marché

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2019 3 commentaires

Un sujet chaud à Québec…

Crédit et source : Jean-Luc Lavallée, Le Journal de Québec, le 21 juin 209

Un autre sursis pour le Marché du Vieux-Port.

Crédit et source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 21 juin 2019

Affluence monstre au Grand Marché.

Grand-Marché d’Expo-Cité : c’est fait.

Voir aussi : Grand Marché de Québec.

Un projet réduit qui serait non rentable au 8, rue McWilliam

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2019 3 commentaires

Illustration: ABCP Architecture

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Le propriétaire du 8, rue McWilliam pourrait bien songer à vendre son terrain à un autre promoteur, faute de rentabilité, si son projet d’édifice ne passe pas la rampe à la Ville de Québec.

L’architecte au dossier, François Moreau, d’ABCP Architecture, a indiqué au Journal que le projet actuel, qui compte un étage de plus que ne le permet le zonage et qui rebute certains citoyens, a été pensé pour être réalisé avec des matériaux de qualité qui s’intègrent au patrimoine bâti.

Accessible aux familles

On parle d’une façade de pierre et d’un toit en mansarde en tôle canadienne à baguettes, des matériaux coûteux. Enlever un étage ferait perdre de la rentabilité au projet, explique M. Moreau.

Le propriétaire du terrain voulait faire en sorte que les 42 logements demeurent accessibles pour les familles, ajoute-t-il. Avec un étage de moins, il faudrait hausser les prix de 18 à 20 % pour parvenir au même coût de revient.

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Un billet précédent

La position du Comité des citoyens du Vieux-Québec

La revanche des voisins François Bourque (Le Soleil). Un extrait:

Comment expliquer cette résistance à un projet qui semble pourtant assez exemplaire?

Trois explications :

1/ Une bataille de principes. Le zonage adopté en 2008 dit 13 mètres, on ne doit pas dépasser 13 mètres. Fin de l’histoire. Comme si un zonage était quelque chose d’immuable à jamais.

2/ Une vendetta contre la Ville. Des citoyens ont été échaudés par l’agrandissement du Capitole et par les projets du théâtre Le Diamant et de Saint-Louis-de-Gonzague qui dépassent les hauteurs moyennes du Vieux-Québec. Ces projets ont échappé au débat public et à d’éventuels référendums, la ville ayant eu «l’habileté» de les inclure au Programme particulier d’urbanisme (PPU) de la colline Parlementaire. Des citoyens se sentent floués, constate le conseiller municipal Jean Rousseau, qui dit les comprendre.

3/ La peur d’un précédent. Ce n’est pas tant l’immeuble projeté rue McWilliam qui inquiète, mais la crainte d’ouvrir la porte à d’autres dépassements dans le quartier qui seraient peut-être moins heureux. Cela témoigne d’une méfiance envers l’administration à qui des citoyens ne font plus confiance pour évaluer ces futurs projets et bloquer ceux qui ne conviendraient pas. Il y a là un enjeu démocratique auquel il faudrait réfléchir.

En attendant, un propriétaire bien intentionné risque de payer pour des décisions passées ou à venir qui n’ont rien à voir avec les mérites du projet actuel. Je ne suis pas certain de ce que les voisins espèrent y gagner.

Un cinquième étage est essentiel à la viabilité financière du projet, expose l’architecte François Moreau qui en a dessiné les plans.

C’est souvent l’argument des promoteurs qui demandent des changements de zonage.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Hauteur, Histoire, Logement locatif ou social.

Un immeuble de 40 logements sur le site de la Villa Livernois

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2019 Commentaires fermés sur Un immeuble de 40 logements sur le site de la Villa Livernois

Marie Maude Pontbriand
Radio-Canada

Il y a de l’espoir pour la Villa Livernois. La maison patrimoniale du quartier Duberger–Les Saules pourrait être conservée si la Ville de Québec accepte les demandes de dérogations formulées par un promoteur immobilier. Les Immeubles Vivo souhaitent construire un complexe de 40 logements tout en conservant le bâtiment datant de 1905.

Les Immeubles Vivo est une entreprise immobilière fondée par Maryse Laurendeau et son conjoint Bernard Poitras, deux entrepreneurs de la région de Québec.

Ils souhaitent notamment développer les terrains de la Villa Livernois. L’offre d’achat qu’ils ont faite sur cette propriété est toutefois conditionnelle à l’avancement de certaines étapes du projet.

On ne voulait pas acheter le terrain ne sachant pas ce qu’on allait pouvoir faire avec, explique Maryse Laurendeau.

La conservation de la Villa, qui est reconnue pour sa valeur patrimoniale par la Ville de Québec, faisait notamment partie des critères pour développer le site.

Les experts consultés par le couple estiment à au moins 800 000 $ les coûts reliés à la conservation du bâtiment patrimonial.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières.

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