Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Planification urbaine »

La Tortue comme nom pour la passerelle de l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juin 2021 Commentaires fermés sur La Tortue comme nom pour la passerelle de l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 6 juin 2021

À la Pointe-aux-Lièvres de Québec, la tortue est sortie victorieuse d’un concours de noms.
Voilà qui exige des explications! La Ville de Québec entend inaugurer cet été le pavillon ainsi que la passerelle cyclopiétonne du parc de la Pointe-aux-Lièvres. Mais les deux structures nouvellement construites pour environ 11 millions $ n’ont pas de nom. Avant leur inauguration, il fallait les baptiser.

Le Comité de toponymie de la Ville s’est donc creusé les méninges. Du côté du bâtiment d’accueil, la réflexion semble avoir été rapide, une seule dénomination ayant été proposée. Mais la délibération a été plus intense pour le petit pont permettant d’enjamber la Saint-Charles vers le Vieux-Limoilou…

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.

Végétalisation de la St-Charles

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 juin 2021 Commentaires fermés sur Végétalisation de la St-Charles

Source : Alexandre Duval, Radio-Canada, le 2 juin 2021

La rivière Saint-Charles fera bientôt l’objet de travaux de végétalisation dans le secteur de la marina Saint-Roch. Ce ne sont toutefois pas les berges, mais plutôt le fond du cours d’eau qui deviendra plus vert, dans le but d’offrir un milieu de vie plus hospitalier pour les poissons, entre autres. Lorsque le niveau de l’eau est bas et que vous vous promenez le long de la Saint-Charles, en été, il est presque impossible de manquer les accumulations de sédiments qui se sont créées à différents endroits, dans le bas bassin de la rivière.

Ces îlots sableux» se sont formés au fil du temps, résultat de particules en suspension dans l’eau qui n’ont pas pu s’écouler jusqu’au fleuve Saint-Laurent.

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Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Nouveau projet: Nuvo Quartier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 mai 2021 5 commentaires

Québec, le 20 mai 2021 – La Ville de Québec était présente ce matin à une pelletée de terre symbolique annonçant le lancement des travaux du projet Nuvo Quartier, un pas de plus dans la revitalisation du secteur D’Estimauville.

« Déjà en 2013 nous avions adopté un programme particulier d’urbanisme pour le secteur D’Estimauville afin de le dynamiser, a mentionné M. Régis Labeaume, maire de Québec. L’arrivée du projet Nuvo Quartier rencontre les objectifs du plan d’aménagement du secteur et confirme son statut d’artère stratégique, en y diversifiant les activités et en y aménageant un milieu de vie accessible et animé. »

Nuvo Quartier en est à la première phase d’un projet qui devrait, à terme, en compter six. La Ville poursuivra sa collaboration avec le promoteur afin que les phases subséquentes soient aussi en cohésion avec les orientations du programme particulier d’urbanisme (PPU).

Transport en commun

Accroitre l’efficacité du transport en commun est l’une des orientations du PPU. L’aménagement du pôle d’échanges D’Estimauville du tramway contribuera au développement du secteur en favorisant l’accès au transport en commun de façon efficace et sécuritaire.

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Le projet. Un extrait: NUVO Quartier est un projet d’envergure qui comprendra 426 condos locatifs. La première phase sera prête pour habitation à compter de l’été 2022 et offrira 126 unités. NUVO Quartier sera localisé à proximité des bureaux gouvernementaux d’Estimauville, des voies d’accès principales dont le Tramway, piste cyclable, autobus, etc. À moins de 15 minutes de la Colline Parlementaire, de la Baie-de-Beauport et du Vieux-Québec, ce projet offrira une localisation sans pareil permettant un équilibre parfait entre le travail et les loisirs. Le lancement des locations se fera à compter de la fin juin 2021.

D’autres informations:

NUVO Quartier offrira une terrasse sur le toit incluant un immense spa, une salle commune incluant foyer et cuisine et comprendra 126 unités de condominiums locatifs sur la phase #1 et 426 unités au total sur l’ensemble du projet.

Le prix de nos unités inclus:

-Un rangement intérieur;
-L’air conditionné;
-Les 5 électroménagers;
-L’eau chaude;
-Un spa d’entraînement et de relaxation.

Nos prix débutent:

À partir de 1170$ pour les unités de type 3 1/2 offrant une superficie entre 661 pc et 827 pc.
À partir de 1381$ pour les unités 4 1/2 offrant une superficie entre 940 pc à 1041 pc.
À partir de 2134$ pour les unités 5 1/2 offrant une superficie entre 1325 pc à 1437 pc. Nos unités ayant 3 chambres sont toutes situées à l’étage penthouse (10e niveau).

Quelques informations pertinentes:

Les chats et les chiens de moins de 20 lbs sont permis
Nous n’offrons pas de location à court terme (bail minimum d’un an)
Nos stationnements intérieurs sont à 100$/mois
Nos stationnements extérieurs sont à 25$/mois

Voir aussi : Densification, Logement locatif ou social, Nouvel urbanisme.

La Ville prend en main le développement immobilier des 80 centres commerciaux de la capitale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 mai 2021 1 commentaire

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Le conseil municipal de Québec vient de s’accaparer des pouvoirs des arrondissements pour planifier en bloc la transformation des 80 centres commerciaux de la capitale, destinés notamment à accueillir des tours d’habitation et des résidences pour aînés sur leurs stationnements.

D’ailleurs, une annonce est prévue ce jeudi en compagnie du maire de Québec, Régis Labeaume : la première pelletée de terre officielle de Nuvo Quartier, un complexe de 426 logements qui doit pousser sur le lot des Galeries de la Canardière, à l’intersection du boulevard Sainte-Anne et de l’avenue D’Estimauville.

La première phase de ce projet immobilier d’envergure, comptant 126 appartements, devrait être complétée à l’été 2022.

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UNE SEULE VISION

«Les 80 centres commerciaux du territoire de la ville sont appelés à se transformer en tout ou en partie au cours des prochaines années, notamment avec l’ajout d’immeubles résidentiels de moyenne et de haute densité», lit-on dans un document municipal récemment diffusé. «Une vision d’ensemble des possibilités de réaménagement de ces centres commerciaux est souhaitée.»

Voilà pourquoi le conseil municipal vient de modifier la réglementation octroyant des pouvoirs aux arrondissements. Pour leur retirer des compétences.

«Les centres commerciaux sont répartis sur l’ensemble du territoire. Dans un souci de cohérence des planifications et du contrôle des constructions et des usages, le conseil municipal exercera certaines compétences en matière d’urbanisme dans les zones où ils sont localisés», ajoute-t-on.

«Le conseil municipal, dans les zones où sont localisés […] les centres commerciaux, sera compétent pour toute réglementation d’urbanisme. Plus spécifiquement, le conseil municipal pourra adopter des règlements afin de modifier les normes de zonage, de lotissement et autres règlements d’urbanisme.»

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COMME AU MAIL CAP-ROUGE

La Ville de Québec cite en exemple le Mail Cap-Rouge du boulevard de la Chaudière quand nous lui demandons de nommer une transformation de centre commercial réussie, qui pourrait être reproduite.

Dans le stationnement, Chartwell a érigé une résidence pour aînés de 360 appartements en 2018, 2019.

«Le Mail Cap-Rouge est un exemple de redéveloppement prévu pour lequel des modifications à la réglementation ont été réalisées afin d’autoriser l’usage Habitation sur le site du centre commercial», pointe la conseillère en communication Audrey Perreault.

Mais, depuis l’érection de L’Envol de Charwell à Cap-Rouge, la Ville a poursuivi sa réflexion quant à l’aménagement de son territoire. Réflexion dont le fruit a été consigné l’an dernier dans sa Vision de l’habitation.

Pistes d’actions

«Dans les pistes d’actions de la Vision de l’habitation, il est souhaité de mieux exploiter le potentiel résidentiel de certains sites, notamment les centres commerciaux par l’ajout d’espaces résidentiels», observe Audrey Perreault. «La Vision cible les centres commerciaux comme des lieux propices pour accueillir de nouveaux logements, notamment des résidences pour personnes âgées, mais aussi d’autres types d’habitations.»

«À l’avenir, si un projet de développement de centres commerciaux associé à de l’habitation cadre avec les orientations de la Vision de l’habitation, des modifications à la réglementation seront autorisées par le conseil municipal.»

Consultation

Mme Perreault veut néanmoins rassurer les résidents des quartiers où des tours pourraient pousser sur les mers d’asphalte des centres d’achats. «Le fait de rapatrier ces zones de zonage sous la compétence du conseil municipal ne change en rien les règles de développement. Le processus d’approbation et de consultation [publique] demeure le même.»

L’article

Voir aussi : Commercial, Condo, Densification, Environnement, Institutionnel, Logement locatif ou social, Nouvel urbanisme.

Pour une densification respectueuse

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 mai 2021 1 commentaire

Québec, le 18 mai 2021- Les démolitions de maisons sur le territoire de la Ville de Québec se multiplient à tel point que l’on peut maintenant parler d’un phénomène. Dans un seul quadrilatère de l’arrondissement de Sillery-Sainte-Foy, le comité pour une densification respectueuse a dénombré 53 maisons démolies et deux (2) nouveaux permis de démolition ont récemment été accordés. De ces maisons, certaines sont inscrites au Répertoire du patrimoine bâti de la Ville de Québec, comme celle de la rue Oak de l’architecte Edward Black Staveley.

En plus d’une perte de patrimoine bâti, toutes ces démolitions entraînent une quantité déplorable de déchets sans compter l’abattage d’arbres matures faisant toute la beauté et la richesse de leur environnement, et ce, afin de permettre, dans bien des cas, la construction de maisons hors proportion, lorsque comparée à leurs voisines.

À chaque fois qu’une nouvelle pancarte à vendre apparaît, les résidents des maisons avoisinantes craignent maintenant le pire. Une maison récemment mise sur le marché et située dans une section de la rue Brûlart formant un ensemble architectural cohérent encore intact sera-t-elle la prochaine à tomber sous le pic des démolisseurs? Lorsque plus de 75% de la valeur foncière de la propriété est accordée au terrain, la Ville encourage indirectement sa probable démolition.

Voyant leur quartier se détériorer à une vitesse impressionnante, des citoyens se mobilisent pour faire cesser ce saccage. Le Comité pour une densification respectueuse vient de lancer une pétition dont le libellé est joint en annexe.

Rappelons que le Comité pour une densification respectueuse (CDR) désire préserver et améliorer la qualité de vie des citoyens de la Ville en favorisant une densification en harmonie avec le patrimoine arboricole et bâti existants.

Le site internet de l’organisme

Voir aussi : Étalement urbain, Densification.

Le Printemps Saint-Jean-Baptiste: un numéro de Québecensia à lire et conserver

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 mai 2021 Commentaires fermés sur Le Printemps Saint-Jean-Baptiste: un numéro de Québecensia à lire et conserver

66 pages. Un. numéro remarquable. Société historique de Québec

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques, Publications & ressources Internet.

Un centre de données aux limites de Vanier ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mai 2021 4 commentaires

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 9 mai 2021

Un investisseur privé, Hydro-Québec et la Ville de Québec poussent pour qu’apparaisse un ample bâtiment de 5 étages, bourré de technologies de pointe, sur une vaste friche appartenant à la société d’État… Voici les infos que nous avons grappillées. Aujourd’hui, nous sommes dans le quartier Vanier. Le lot inoccupé, convoité, se trouve sur la rive ouest de l’autoroute Laurentienne. Et au nord de la voie ferrée qui longe la rue Soumande.

On aperçoit, plus loin, le centre commercial Fleur de lys et le gros amphithéâtre blanc d’ExpoCité.

Le propriétaire du terrain que nous foulons : Hydro-Québec. Son lot fait pratiquement 500 000 mètres carrés. C’est plus ou moins 5,4 millions de pieds carrés. Il y a donc de la place.

Trop de place, en fait, pour les besoins de la société d’État, explique au Soleil le conseiller en relations avec le milieu Marc-Antoine Ruest. Un morceau a donc été mis aux enchères.

Pas tout le lot. Car il y a ici des installations stratégiques pour Hydro-Québec. Sur l’affiche à l’entrée du 2, rue Samson, il est écrit que les gros transformateurs des postes Québec II ainsi que Frontenac 1 et 2 s’y trouvent.

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Le site visé.

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Nouvel urbanisme, Technologie.

Reportage photos : secteur d’Estimauville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 avril 2021 Commentaires fermés sur Reportage photos : secteur d’Estimauville

Petite escapade dans le secteur d’Estimauville. Le projet du nouvel immeuble semble à toutes fins pratique terminé à tout le moins pour l’extérieur.

Immeuble de la CNESST – état des travaux (5).

Tout juste à côté, le projet Destimo est aussi, en bonne voie de se terminer.

Nouveau projet : le Destimo.

À l’arrière, un terrain de jeux a été aménagé pour les enfants dont les familles viendront revitaliser ce secteur.

Finalement, on annonce, un peu plus loin à l’Est sur le boulevard Ste-Anne, le projet du terminus du tramway dont on a déterminé qu’il finira sa course dans l’est à cet endroit.

Voir aussi : Arrondissement Beauport, Écoquartier, Institutionnel, Parc.

Les tours de bureaux doivent s’installer près des axes de transport en commun, insiste la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2021 3 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Les entreprises comptant beaucoup d’employés, du domaine de l’administration et des services professionnels, doivent installer leurs bureaux dans les secteurs les mieux desservis par le transport en commun, pas dans les parcs industriels et zones résidentielles, réitère la Ville de Québec dans un règlement récent.
«La décision n’est pas nouvelle de favoriser le développement des immeubles de bureaux […] à proximité des axes de transport en commun et des pôles urbains», observe la conseillère en communication Audrey Perreault. Cette vision a été énoncée «bien avant même que le projet de réseau structurant de transport en commun [tramway] soit présenté».

C’est ainsi que, en 2014, des normes temporaires ont été implantées afin de forcer le regroupement des «plus fortes densités d’emplois» là où il y a le plus d’autobus.

Ces règles devaient cependant s’appliquer seulement pendant que l’administration municipale mettait à jour sa bible de l’aménagement du territoire de Québec : le Schéma d’aménagement et de développement. Ce document évoque le rêve de la capitale pour son avenir, cible les secteurs où on veut des maisons, des commerces, des tours, des champs, des arbres…

Ce Schéma a finalement été adopté en 2020. Mais il faudra encore du temps pour que les nombreux règlements de la Ville soient mis à jour afin de refléter les orientations qu’il contient, note Audrey Perreault.

La Ville vient donc de ressortir son règlement temporaire de 2014 afin de le remodeler selon la vision nouvelle. En le maintenant en vigueur, on évitera qu’il y ait des passe-droits tandis que les fonctionnaires s’attellent à la tâche de révision.

«En résumé, il est nécessaire de modifier le règlement de contrôle intérimaire afin d’appliquer immédiatement les orientations et les objectifs du Schéma d’aménagement.»

Immeubles dispersés

Donc, les tours de bureaux ne pourront pousser n’importe où. Ce qui n’a pas toujours été le cas : «Jusqu’ici, la planification urbaine a laissé beaucoup de latitude à l’implantation des immeubles de bureaux sur le territoire. En conséquence, ceux-ci sont dispersés dans toute l’agglomération, sans égard à la structure urbaine», dixit le Schéma d’aménagement.

On y ajoute : «La dispersion des entreprises sur le territoire a plusieurs conséquences. Elle rend difficiles la desserte efficace en transport en commun et le développement de milieux d’affaires denses et animés, à l’image de ce que devrait être une agglomération urbaine de la taille de Québec.

«Le secteur des services occupe 85 % des travailleurs de l’agglomération de Québec, dont 30 % dans des emplois administratifs, principalement concentrés dans l’administration publique, les services professionnels et les assurances.»

Source : Schéma d’aménagement et de développement révisé, Ville de Québec

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Les entreprises comptant beaucoup d’employés, du domaine de l’administration et des services professionnels, doivent installer leurs bureaux dans les secteurs les mieux desservis par le transport en commun, pas dans les parcs industriels et zones résidentielles, réitère la Ville de Québec dans un règlement récent.
«La décision n’est pas nouvelle de favoriser le développement des immeubles de bureaux […] à proximité des axes de transport en commun et des pôles urbains», observe la conseillère en communication Audrey Perreault. Cette vision a été énoncée «bien avant même que le projet de réseau structurant de transport en commun [tramway] soit présenté».

C’est ainsi que, en 2014, des normes temporaires ont été implantées afin de forcer le regroupement des «plus fortes densités d’emplois» là où il y a le plus d’autobus.

Ces règles devaient cependant s’appliquer seulement pendant que l’administration municipale mettait à jour sa bible de l’aménagement du territoire de Québec : le Schéma d’aménagement et de développement. Ce document évoque le rêve de la capitale pour son avenir, cible les secteurs où on veut des maisons, des commerces, des tours, des champs, des arbres…

Ce Schéma a finalement été adopté en 2020. Mais il faudra encore du temps pour que les nombreux règlements de la Ville soient mis à jour afin de refléter les orientations qu’il contient, note Audrey Perreault.

La Ville vient donc de ressortir son règlement temporaire de 2014 afin de le remodeler selon la vision nouvelle. En le maintenant en vigueur, on évitera qu’il y ait des passe-droits tandis que les fonctionnaires s’attellent à la tâche de révision.

«En résumé, il est nécessaire de modifier le règlement de contrôle intérimaire afin d’appliquer immédiatement les orientations et les objectifs du Schéma d’aménagement.»

Immeubles dispersés

Donc, les tours de bureaux ne pourront pousser n’importe où. Ce qui n’a pas toujours été le cas : «Jusqu’ici, la planification urbaine a laissé beaucoup de latitude à l’implantation des immeubles de bureaux sur le territoire. En conséquence, ceux-ci sont dispersés dans toute l’agglomération, sans égard à la structure urbaine», dixit le Schéma d’aménagement.

On y ajoute : «La dispersion des entreprises sur le territoire a plusieurs conséquences. Elle rend difficiles la desserte efficace en transport en commun et le développement de milieux d’affaires denses et animés, à l’image de ce que devrait être une agglomération urbaine de la taille de Québec.

«Le secteur des services occupe 85 % des travailleurs de l’agglomération de Québec, dont 30 % dans des emplois administratifs, principalement concentrés dans l’administration publique, les services professionnels et les assurances.»

Source : Schéma d’aménagement et de développement révisé, Ville de Québec

L’article

* Merci à un fidèle lecteur (LP Simard)

Voir aussi : Architecture urbaine, Étalement urbain, Densification, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.